LIRE, C’EST S‘INSTRUIRE
Er
x0, HOUL PROVENCHER
TEL: 233-3407
GILLES LANDARY
PROPRIÉTAIRE
(AUTOPAC
PAOTRC TIME MAN IOMANS ie TE MOVE
ASSURANCES es
D'ESCHAMBAULT
136, BOULEVARD PROVENCHER
GILBERT D'ESCHAMBAULT
247-4816
Tirage: 12,000
Vol. 64 No 4 SAINT-BONIFACE,
A 5
, un (5
Paraït depuis 191 PRAINE LIBRg NS
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MERCREDI 28 AVRIL 1976
6
L'Assemblée annuelle de la Centrale
Progrès remarquable
des Caisses populaires
L'assemblée annuelle de la Centrale des Caisses popu-
laires du Manitoba et du Fonds de Sécurité des Caisses
popuiaires du Manitoba s'est déroulée le 22 de ce mois
dans la sérénité que confèrent à ses membres les suc-
cès d'une entreprise bien administrée et dont les pro-
grès sont constants. Le total de l'actif (31 décembre
1975) des Caisses populaires du Manitoba atteint
presque $67 millions, ce qui représente une augmen-
tation de plus de 28 p.c. sur l'exercice financier précé-
dent. Le nombre des membres dépasse 25,000.
L'assemblée, sous la présidence de Me Renald Guay,
président de la Centrale, a adopté assez rapidement
les articles des nouveaux règlements généraux. Les
queiques amendements à certains des articles sont
venus surtout des représentants de la Caisse populaire
de Saint-Boniface qui, il était apparent, s'étaient ame-
nés préparés.
La Caisse centrale est maintenant aussi une Caisse
commerciale et industrielle qui peut consentir des
prêts aux commerces et aux maisons d'affaires.
À NE PAS MANQUER
La question de l'école française a fait
couler beaucoup d'encre au Manitoba, sur-
tout depuis la publication par le Bureau de
l'Education Française d’un document intitu-
lé “Pour un réseau d'écoles françaises”.
Un débat s’est engagé au sein de la com-
munauté sur les mérites de ce document, et
plus généralement sur les avantages et les
inconvénients du concept de l'éducation
française.
Nous versons aujourd’hui une nouvelle
pièce à ce débat avec ce texte dans lequel
notre collaborateur Jean Lesieur — observa-
teur extérieur — a essayé de se meitre
dans la peau de quelqu'un qui s’efforcerait
de convaincre ses compatriotes franco-
manitobains qu'ils doivent se battre pour
l'école française, qui essaierait de leur expli-
quer ce qu'est une telle école, ce que son
existence pourrait signifier.
Nous publierons ce texte en deux parties.
(VOIR, PAGE 3)
Collège
Universitaire
de
Saint-
Boniface
PHOTO JEAN-JACQUES LE FRANÇOIS
Pour remplacer les membres du Conseil d'administra-
tion sortant de charge, MM. Olivier Beaudette, de la
Caisse populaire de Saint-Pierre, Lucien Lussier, de la
Caisse populaire du Parc Windsor, et Arthur Touchet-
te, de la Caisse populaire de Saint-Jean-Baptiste, ont
été élus par l'assemblée,
Au souper de clôture, le ministre responsable des
coopératives, l'honorable René-E. Toupin, visiblement
heureux de se retrouver au milieu de coopérateurs,
ayant longtemps oeuvré dans les coopératives, a félici-
té les administrateurs et employés des Caisses popu-
laires de leur réussite, Le sous-ministre du ministère
du Développement social, M. Maurice Gauthier, était
aussi à la réunion qui groupait une centaine de per-
sonnes.0
Citoyen de la grande ville
Cours de printemps et d'été
Au téléphone: 233-
Secrétariat bilingue
0210
RER
Éditorial
CRISE? PLUTÔT FATIGUE, ESSOUFFLEMENT
L]
A l'émission télévisée “Manitoba 76", hier soir, on a po-
sé la question, savoir, 1 communauté francophone du
Manitoba traverse-t-elle en ce moment une crise? Il ne
s'agit pas de crise économique, bien sûr.
{l'est certain que l'affaire du Centre culturel a eu un ef.
fet sur une partie de la population, chez ceux, en tout
cas, qui se préoccupent de l'avenir de la francophonie en
cette Province. L'atmosphère du lieu, en effet, et c'est
normal dans les circonstances, s'est assombrie; un peu
comme si les feux de la rampe s'étaient graduellement
mais rapidement éteints —moins de monde, moins de
bruit, moins d'activité, de va-et-vient... un ralentisse-
ment. des bureaux fermés... Quelqu'un nous faisait re-
marquer l'autre jour le contraste que cette situation a
produit, quand on se rappelle l'activité fébrile, le bruit,
la foule, l’entrain dont ces lieux avaient été témoins
quelques semaines seulement plus tôt à l'occasion du
Festival du Voyageur.
Une crise? Les problèmes de la communauté canadien-
ne-française du Manitoba ne se situent pas au Centre cul-
turel ni parmi les organismes du milieu. Le problème, car
il y a un problème, se situe au sein même, au coeur du
corps vivant qu'est la communauté. Le problème de l'an:
glicisation galopante, de la perte, culturellement parlant,
de ces jeunes générations pour qui l'héritage maintenu
par les luttes héroiques d'autrefois, ne semble plus signi-
fier grand-chose. Le problème n'est pas en surface. La
survie en français selon nos vieilles coutumes ne dépend
pas de lois, ne dépend pas des centaines de milliers de
dollars en provenance du gouvernement central qui, com
me on à dit souvent, se sert des minorités de langue fran-
Québec, pour donner un caractère particulier à une na-
tion qui existe artificiellement et qui ne se distinguerait
plus, et en bien peu de temps, du voisin américain n'é-
tait-ce la présence des Canadiens Français,
La survie en français de notre groupe dépend d'abord du
vouloir, de la volonté de ceux qui n'ont pas lâché, de
ceux qui constituent ‘le petit reste”, comme on dit, de
demeurer eux-mêmes, de réagir, chacun chez soi, dans
son coeur, de vouloir durer.
Crise? On se préoccupe beaucoup de l'argent, nerf de la
guerre, bien sûr, On estime combien il faudrait pour faire
ci, pour faire ça, On compte sur les gouvernements. Les
“vieux”, autrefois, ont mené, et avec succès, une dure
lutte, Les gouvernements ne donnaient rien, Au contrai-
re. Mais les “vieux” avaient l'appui de la population,
d'une population qui VOULAIT survivre,
S'il s'agit d'une crise d'argent, cela est superficiel, La cri-
se, s'il y a crise, en est une d'apathie, de torpeur, de fati-
gue, peut-être, d'essoufflement. Peut-être pas au sein des
groupes, des organismes du milieu, bien qu'en certains
cas, on puisse se poser des questions. Au sein de la po-
pulation, très probablement. [1 y a la motoneige qu'il
faut mettre à l'abri, l'auto à faire voir pour la belle sai-
son, le terrain à nettoyer, la tondeuse à gazon à sortir,
à huiler, les enfants vont bientôt entrer en vacances, il y
aura les voyages ‘au lac”, les fins de semaine à la plage...
Dans la nouvelle échelle des valeurs, on peut se demanr-
der où se situe la volonté ou même seulement le désir,
l’idée, là pensée... de regarder l'avenir en français...
Jean-Jacques Le François
çaise dans un but politique, dans un effort de retenir le
Monsieur le Rédacteur,
À travers l'histoire et
même dans notre société
actuelle, nous consta-
tons que les gens décou-
vrent des personnes qu'ils
admirent pour différentes
raisons, soit pour leur
intelligence, leurs talents
ou autres motifs.
Ceux-ci peuvent être
des héros du passé com-
me du présent. Par ex-
emple à chaque année, le
monde du cinéma consa-
cre une soirée spéciale,
où l'on reconnait les ta-
lents de certains artistes.
La même chose se pro-
duit pour les sportifs, les
joueurs de “hockey”, sans
parler des concours de
“Miss” de toutes sortes.
Chaque personne a de
l'admiration pour l'une ou
l'autre de ces étoiles, que
Journal hebdomadaire publié le mercredi
par Presse-Ouest, Limitée, au service des
12,000 foyers du
du Canada.
DIRECTEUR : Marcien Emond.
REDACTEUR EN CHEF : Jean-Jacques
Manitoba
Membre de la M.W.N.A. et des Hebdos
nous appellerons “héros
d'un public”.
Pour nous et pour plu-
sieurs, il y a de ces héros
qui sont méconnus ou ou-
bliés. Ces personnes qui
se dévouent gratuitement
au service des autres.
Nous voulons parler ici
de l'équipe de prêtres de
la paroisse Cathédrale.
Sans vouloir blesser leur
humilité, nous mention-
nons, l'abbé Léo Coutu-
re, l'abbé Claude Blan-
chette et l'abbé Gérard
Dionne.
Dans un monde où les
valeurs matérielles com-
me l'argent, le prestige,
l'amour libre, sont cen-
sés apporter le bonheur,
nous constatons par l'ex-
emple de leur vie, que les
vraies valeurs sont celles
qui proviennent d'une
A=2LA
français.
Lettres à LA LIBERTÉ
Des héros oubliés
conduite conforme à l'E-
vangile. Ces valeurs, bien
différentes des autres, ap-
portent vraiment un grand
bonheur et une paix pro-
fonde à ceux qui veulent
les découvrir.
C'est à la suite de plu-
sieurs célébrations que
nous constatons le dé-
vouement de nos prêtres.
Ils cherchent par tous les
moyens possibles, de
rendre les célébrations
vivantes, intéressantes et
joyeuxes.
Par leur générosité ils
sont toujours tous pré-
sents à chaque cérémo-
nie, et sont aussi dispo-
nibles aux personnes de
tout âge.
Nos prêtres possèdent
également de beaux ta-
lents de chantres, d'artis-
tes, d'organisateurs, qui
ont une grande valeur,
LA LIBERTÉ
Toute correspondance doit être adressée
LIBERTE.
Saint-Boniface, Manitoba,
Au téléphone :
L'abonnement annuel
Canada. $8.50 aux Etats-Unis, et $9,50
dans les autres pays
Case postale 96,
R2H 3B4,
247-4823,
coûte $7,50 au
Le François LA LIBERTE est imprimée sur les presses
JOURNALISTE : Jean Lesieur. de Kingdon Printing (1974) Ltd,, 807,
SERVICE DES ANNONCES COM- rue Erin, Winnipeg, Manitoba R3G 2W2.
MERCIALES : René Guyot. Au télé Enregistrée comme courrier de deuxième
phone : 247-4823, classe : no 0477,
ER MPa AR NO SOLS OL D TT RS TP AIRE ERA AE D DD RUE VE AE DO PR TR. I A PR
à
9 / LA LIBERTE, mercredi 28 avril 9076———
dont ils se servent pour
nous faire rencontrer le
Seigneur.
De plus ils nous trans-
mettent la parole de Dieu
par le message de l'Evan-
gile, qu'ils savent si bien
adapter à notre vie de cha-
que jour, à notre condi-
tion, à notre temps.
La Semaine Sainte fut
une preuve concrète de
tous ces talents dont
nous avons protité.
Pour nous, ce sont des
héros trop souvent ou-
bliés.
Nous profitons de cette
occasion pour leur dire
toute notre admiration,
pour ce don d'eux-mêmes
au service des autres,
Nous savons que vous
n'attendez rien en retour.
Nous vous disons quand
même notre reconnais-
sance, et notre affection
profonde,
Nous exprimons le
voeu d'une plus grande
collaboration de toute la
communauté.
Une paroissienne,
Thérèse-M. Gauthier
Saint-Boniface
(VOIR, PAGE 10)
Réveille-toi!
Le week-end est bientôt terminé!
Pour un réseau d'écoles françaises
Première partie: D’hier à aujourd’hui
par JEAN LESIEUR
Nous publions aujourd'hui la première
partie de ce texte dont nous pu-
blierons la fin la semaine prochaine,
Aujourd'hui: une analyse historique et
sociologique des conditions qui ont
mené à la situation que l'on connaît
de nos jours,
Des lois répressives votées à l'encon-
tre d'un groupe, d'une culture, ou
d'une langue, n'entrahent pas forcé-
ment la disparition de ce groupe, de
cette culture, ou de cette langue.
Inversement, des lois permissives
votées en faveur d'un groupe, d'une
culture, ou d'une langue, n'entraïhent
pas forcément la survie et l'épanoulis-
sement de ceux-ci,
Le domaine de la loi et celui des faits
ne concordent pas toujours, L'histoire
de la langue française au Manitoba
le prouve,
L'enseignement français a rarement
joui au Manitoba d'un statut légal aus-
si favorable qu'aujourd'hui, Sur le plan
des faits, tout n'est pas aussi rose,
Au début du siècle, c'était l'inverse:
les lois étaient hostiles, mais, par di-
vers moyens, faisant preuve d'un
niveau élevé de conscience de groupe,
les Franco-Manitobains réussirent à
donner à leurs enfants un enseigne-
ment français suffisant.
L'ARRIÈRE PLAN: UN CONTEXTE
ANTI-FRANÇAIS
En 1870, le système d'éducation en
vigueur dans la province était bi-
confessionnel, et permettait aux ca-
tholiques francophones du Manitoba
d'apprendre, de s'exprimer, de vivre
dans leur langue,
Ce système permissif évolua bientôt,
dans un contexte généralement anti-
français, En 1879, le Conseil Législa-
tif, dont une des fonctions était de
protéger les droits de la minorité ca-
tholique, fut aboli, Dix ans plus tard,
le gouvernement cessa la publication
dans les deux langues des comptes
rendus des débats de la Chambre.
Quelques mois après, les membres de
la législature adoptèrent un projet de
loi visant à l'abolition de l'usage du
français dans l'Assemblée Législati-
ve, la fonction publique, les publica-
tions gouvernementales et les tribu-
naux de la province.
Dans le domaine scolaire, la majorité
des députés vota en 1890 en faveur
d'un système d'écoles non-confes-
sionnelles devant être administrées
par des commissions scolaires et par
un ministère de l'éducation. Les mino-
rités catholiques, victimes de cette
centralisation qui les noyait dans la
masse, protestèrent devant les cours
de justice et le parlement fédéral.
Sans succès.
Pourtant, après une élection fédérale
chaudement contestée, les gouverne-
ments fédéral et manitobain s'enten-
dirent sur une formule qui devait por-
ter le nom ‘d'arrangement Laurier-
Greenway”. Une clause de ce règle-
ment prévoyait la création d'un systè-
me permettant l'enseignement dans
une langue autre que l'anglais là où
dix élèves avaient pour langue mater-
nelle une langue autre que l'anglais.
L'anglicisation galopante
L'article qui suit est le résultat d'une recherche
faite par le directeur adjoint de l'école de Sainte-
Anne, Roger Legal, dans le cadre d'une thèse de
maitrise intitulée ‘‘Bilingualism, socioeconomic
status, intelligence and scholastic achievement
— An analysis of some Franco-Manitoban stu-
dents”.
Un résultat de zéro si-
gnifierait un équilibre par-
fait entre les deux lan-
gues, un résultat positif
signifierait un bilinguis-
me à dominance française
et un résultat négatif si-
gnifierait un bilinguisme
L'échantillon de cette
étude comprenait 50%
des étudiants francopho-
nes de de et de 8e an-
nées de toutes les écoles
de la Division Scolaire
Rivière-Seine; soit 185
jeunes. |l est à noter que
n'étaient retenus comme
“étudiants francophones”
que ceux qui répondaient
(c) à la question suivan-
te:
A la maison, mes parents
parlent français
a) parfois (0 - 25% du
temps)
b) environ la moitié du
temps (25% à 75% du
temps)
c) la plupart du temps
(75% à 100% du
temps)
Les étudiants retenus
pour l'échantillon n'é-
taient donc que des jeu-
nes qui avaient été expo-
sés largement à la langue
française. || en fut décidé
ainsi parce qu'on pouvait
craindre que les jeunes
dont les parents parlaient
moins de 75% du temps
en français à la maison
risquaient d'être déjà pas-
sablement assimilés.
Ces étudiants furent sou-
mis à un test d'associa-
tion de mots.
| À LIBERTE, mercredi 28 avril 1976 / 3
Ce test de bilinguisme
est une modification d'u-
ne technique utilisée par
Wallace Lambert en 1962
à l'Université McGill. Des
mots français et des mots
anglais sont présentés
aux jeunes et ceux-ci sont
invités à écrire autant de
mots qui leur viennent à
l'esprit et qui semblent
correspondre d'une certai-
ne façon au mot stimu-
lus sont au nombre de 32,
soit 16 mots français et 16
mots anglais; ils sont
présentés dans l'ordre a b
b a, c'est-à-dire 8 mots
français suivis des 16
mots anglais suivis des 8
autres mots français. Cet
ordre fut choisi parce qu'il
est censé neutraliser les
effets d'apprentissage et
d'habitude face au ques-
tionnaire et aussi neutrali-
ser les effets de fatigue.
Enfin, pour chaque su-
jet, la somme des asso-
ciations aux mots fran-
çais est compilée (MF).
Il en est fait de même
avec les associations aux
mots anglais (MA). Ces
sommes sont ensuite uti-
lisées pour établir un
pointage d'équilibre selon
la formule suivante:
MF - MA
——— X 100= -———
MF + MA
à dominance anglaise.
Il apparaissait donc rai-
sonnable d'estimer que
trois catégories pouvaient
être formées selon ces
critères. Les étudiants
dont les résultats seraient
tombés entre -15 et +15
seraient nos bilingues à
dominance française et
ceux dont les résultats se
seraient situés au-des-
sous de -15 seraient les
bilingues à dominance
_anglaise.
OR, SELON CES CRI-
TÈRES AUCUN ETUDI-
ANT NE TOMBAIT DANS
LA CATEGORIE DE BlI-
LINGUES À DOMINANCE
FRANÇAISE. SUR 185,
PAS UN SEUL! 98
ÉTAIENT DES BILIN-
GUES ÉQUILIBRÉS, 87
DES BILINGUES À DO-
MINANCE ANGLAISE.
Ce qui ressort donc de
façon non - équivoque,
c'est que si aucun étu-
diant de l'échantillon ne
peut être qualifié de bilin-
que à dominance françai-
se, les parents ne de-
vraient pas craindre de
placer leurs jeunes dans
un programme totalement
français.m
Les Canadiens-Français — ainsi que
les nombreux immigrants arrivés d'Eu-
rope de l'Est à la fin du 19e siècle —
se prévalurent largement de cette
clause, Trop largement selon certains.
LA RÉPRESSION
Une campagne s'engagea, orchestrée
par le Manitoba Free Press et son
directeur J, W. Dafoe — qui désirait
que le Manitoba soit un endroit où
puissent s'épanouir les valeurs britan-
niques en matière d'éducation et de
gouvernement,
Dans une série de plus de cent articles
publiés entre 1912 et 1916 sur la situa-
tion scolaire, le quotidien rappela tout
d'abord que les francophones devaient
évoluer dans un pays anglophone et
qu'il serait “criminel” de les priver
des outils nécessaires pour le faire
adéquatement, Plus tard, le Free
Press s'inquiéta de l'accent mis par les
francophones sur la religion catholi-
que, qui “engendrait un esprit sépa-
ratiste”.
Au début de 1916, le Free Press de-
manda l'abolition pure et simple du
système permettant l'enseignement
L'Actualité
dans une langue autre que l'anglais.
La pensée des gouvernements qui se
succédèrent au pouvoir lors de cette
période évolua dans le même sens que
celle du Free Press, “Tout le monde
doit savoir l'anglais”, s'exclama le
Premier Ministre Norris en 1913, ‘Si
cela implique la refonte de la loi, cela
sera fait”,
Des promesses furent pourtant faites
aux Canadiens-Français. On leur dit
que d'éventuels projets de loi anti-
bilingue viseraient les nouveaux immi-
grants et non les Canadiens-Français.
Ceux-ci étant en effet souvent unilin-
ques, ils pouvaient se prévaloir d'avoir
rendu, par la force des choses, la pro-
vince véritablement bilingue.
Mais la peur des adeptes du concept
de la “common nationality” de voir la
province se morceler fut la plus forte,
Le 10 mars 1916, la Législature abolit
la clause de l'arrangement Laurier-
Greenway qui permettait l'enseigne-
ment dans une autre langue que l'an-
glais. Tout le programme bilingue du
niveau secondaire était laissé intact.
Cela ne préservait pas pour autant les
(SUITE, PAGE 7)
L'ORIGINE DE L'UNION JACK"
L'Union Jack" — vous savez —, c'est le drapeau de la
Grande-Bretagne. C'est le drapeau qui flotte au mât de la
résidence du Lieutenant-Gouverneur de la Province, re-
présentant de la Reine, lorsqu'il y est présent. L'origine
de ce drapeau remonte à la Conquête normande de l’An-
gleterre saxonne, en 1066.
Durant la nuit du 27 septembre 1066, la flotte que le duc
de Normandie avait rassemblée à Saint-Valéry-sur-Som-
me, faisait voile vers la côte anglaise. Mille six cents na-
vires de classe et autant d'autres plus petits transportant
soixante mille hommes, six mille chevaux. Au point du
jour, le 28, les drakkars reposent, à marée basse, sur les
sables de Pevensey. Le monde occidental est à la croisée
des chemins, Les Normands occuperont l'Angleterre, y
mettront de l'ordre, y demeureront, la marquant à jamais.
L'Eglise saxonne avait graduellement échappé au contrô-
le de Rome qui ne percevait plus “l'impôt sacré”, ne re-
cevant que des ‘dons gratuits et personnels”. La papauté,
anxieuse d'établir sa suprématie sur tous les princes chré-
tiens vit d'un bon oeil et encouragea le projet du duc
Guillaume d'envahir l'Angleterre. On en vint ainsi à con-
sidérer l'expédition normande comme une croisade et les
mères de familles ‘envoyèrent leurs fils combattre pour
”
le salut de leurs âmes. . .”
Le duc de Normandie vogue donc, dans la nuit du 27 au
28 septembre 1066, sûr de lui. N'a-t-il pas pour lui, dons
du pape, un cheveu et une dent de saint Pierre, et, contre
Harold, le roi Saxon, une bulle d'excommunication?
Le drakkar ducal est peint en rouge et en blanc. Sa voile
est jaune et rouge. Au mât, l'étendard que lui a donné le
pape Alexandre [! pour l'expédition. C'est un ‘panneau
chargé d'une croix (...) dont sortira un jour la bannière
de saint Georges”. Plus tard, avec la croix de saint André,
ce sera l’ “Union Jack”!
L'étendard fameux fut conservé dans l'Abbaye de la Ba:
taille, que le duc de Normandie avait fait construire sur
le lieu de sa victoire sur Harold, à Hasting (Battle). On
l'y préserva jusqu'en 1931 alors que le monastère, qu'une
prédiction ancienne avait condamné au feu, fut détruit
par l'incendie. ..
Jean de Lotainville
Sources : La Varende — ‘Guillaume le Bâtard,:conqué-
rant "Flammarion, 1946.
Re
(
JUBILAIRES — À la Maison-Mère des Soeurs Missionnaires Oblates, dimanche dernier, huit religieuses
ont été honorées pour leurs nombreuses années de vie religieuse.
Assises, première rangée: Soeur Marie-Gertrude (70 ans); Soeur Saint-Henri (Cécile d'Amours, 60 ans);
Debout: Soeur Thérèse Champagne (25 ans); Soeur Simonne Dionne (25 ans); Soeur Hélène Chaput (25
ans); Soeur Marguerite Viau (50 ans); Soeur Reine Régnier (50 ans); Soeur Cécile Bellavance (50 ans).
Feu l'abbe Albert Brunet
Monsieur l'abbé Albert
BRUNET est décédé le 24
avril, peu après minuit, à
l'Hôpital Général de
Saint-Boniface
Albert Brunet, âgé de
81 ans et six mois, est né
le 4 octobre 1894 à Sainte-
Ursule (Québec), Après
ses études primaires à
l'école de Saint-Jean-Bap-
tiste, il entre au Petit
Séminaire de Saint-Boni-
face (1909-1916), tout en
faisant son cours classi-
que et ses études philo-
sophiques au Collège de
Saint-Boniface,
En 1916, il commence
ses études théologiques
au Grand Séminaire de
Montréal (1916-19), Il
poursuit sa préparation à
la prêtrise par un stage
au Petit Séminaire de
Saint-Boniface. Monsei-
gneur Arthur Béliveau
l'ordonne prêtre le 29 juin
1920 à Saint-Jean-Baptis-
te.
L'abbé Albert Brunet
exerça son ministère d'a-
bord comme vicaire à
Somerset (1920-21), puis
à la Cathédrale de Saint-
Boniface pendant vingt
ans (1921-41), C'est alors
qu'il est nommé curé à
Fannystelle (1941 - 56),
puis à Saint-Adolphe,
Il se retire du ministè-
re actif en 1965 et réside
quelques années à Saint-
Norbert puis à Saint-Boni-
face,
Monsieur l'abbé Brunet
faisait partie de la pre-
mière classe d'élèves du
Petit Séminaire et fut
donc parmi les premiers
élèves de cette institu-
tion à devenir prêtre. De-
puis quelques années lil
était le doyen d'âge des
prêtres du diocèse de
Saint-Boniface, Mention-
nons également que
l'abbé Brunet fut Vicaire
Forain de 1952 à 1956 et
membre du Conseil d'Ad-
ministration de 1948-65,
Les funérailles seront
présidées par Monsei-
gneur Antoine Hacault,
archevêque dans la Ca-
thédrale de Saint-Bonifa-
ce, mardi matin le 27 avril
à 10h00, L'inhumation au-
ra lieu au cimetière de la
Cathédrale.
QUESTIONS ET RÉPONSES
de pensior
(Q) Mon mari est décédé le mois dernier. Il était tra-
vailleur autonome et gagnait au-delà de $1000 par an-
née. |! a toujours complété son rapport d'impôt et éga-
lement toujours payé ses cotisations au Régime de
pensions du Canada. Je suis âgée de 63 ans. Suis-je
éligible aux prestations mensuelles de veuve, ainsi
qu'à la prestation globale de décès? Quand commen-
ceraient ces bénéfices et comment longtemps seraient-
ils payés?
391HNVW SOLOHd4
N173SSY
(R) Oui. Sur demande vous pouvez recevoir la presta-
tion globale de décès de même que la prestation men-
suelle de veuve. Le montant des prestations sera déter-
miné d'après les gains et contributions de votre défunt
mari. Votre pension de veuve pourra commencer le
mois suivant le mois du décès et continuer à vie à
moins que vous vous remariez.
(Q) Mon mari est décédé il y a deux ans et je ne me
suis pas remariée. Il avait toujours payé au Régime de
pensions du Canada depuis 1966. J'ai deux enfants à
charge, mais je n'ai jamais fait de demande de presta-
tions auprès du Régime de pensions du Canada. Si je
le faisais maintenant, aurais-je droit à des prestations?
Le président de la Centrale des Caisses populaires du Manitoba,
Me Renald Guay, s'adresse à l'assemblée annuelle de l'institution
tenue la semaine dernière, à Saint-Boniface. (R) Oui. Si vous faites une demande maintenant et que
celle-ci est approuvée, vous recevrez des prestations,
rétroactivement pour un an de la date de votre deman-
de.
(Q) Est-ce qu'une veuve peut continuer à travailler si
elle reçoit des prestations de veuve?
(R) Oui. Une veuve peut continuer à travailler et à con-
tribuer au Régime de pensions du Canada. Ceci pour-
rait lui donner droit à des bénéfices de retraite ou d'in-
validité en raison de ses propres cotisations.
al Aid Manitoba
Centre Juridique Communautaire La Sen
(Q) Mon épouse est décédée le mois dernier et avait
toujours contribué au Régime depuis 1966. J'ai trois
enfants à charge de moins de 18 ans et demeurant
avec moi. Toutefois, je travaille et mes gains sont au-
delà de $10,000 par année. Suis-je éligible à des pres-
tations sous le Régime de pensions du Canada?
leg
(R) Oui. Sur demande vous pouvez être éligible à une
prestation mensuelle de veuf, de même qu'à une pres-
tation globale de décès. Vous pourriez également re-
cevoir des prestations d'orphelins pour vos trois en-
fants. Le fait que vous travaillez présentement et con-
tribuez au Régime ne vous empêche pas de recevoir
des prestations.
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L'AIDE JURIDIQUE. — C'est jeudi dernier que le Centre Juridique
Communautaire La Sem a officiellement ouvert ses portes au 401,
du boulevard Provencher, à Saint-Boniface.
PA
1 / LA LIBERTE, mercredi 28 avril 1976
Du côté de la cuisine
DES CRÉPES DE MAÏS,
BIEN CHAUDES
ET CROUSTILLANTES
Le petit déjeuner est un repas important. Après
huit heures ou plus de sommeil, chacun a besoin
d'énergie pour satisfaire aux exigences de la journée.
C'est l’occasion de tenter votre famille avec .des
aliments qui éveillent l'appétit.
Selon le Comité de Nutrition Kellogg, un petit déjeuner bien
équilibré doit contenir aussi bien des aliments qui fournissent des
protéines, des vitamines et des minéraux que de l'énergie alimentaire
Il devrait de plus procurer à peu près le quart des besoins de
nourriture pour la journée, Un petit déjeuner composé de céréales
et de lait, fournit les éléments nutritifs indispensables à toute
alimentation saine
Pourquoi ne pas essayer ces délicieuses crêpes de mais, faites à
partir de céréales entières et de lait; elles sont nutritives et varicront
agréablement votre menu,
CRÊPES DE MAÏS
4 t, de flocons de maïs Kellogg
1t, de farine tout-usage
4 c, à thé de poudre à pâte
% c, à thé de sel
1 c, à soupe de sucre
2 oeufs
% de tasse d'huile végétale
2 tasses de lait
1, Mesurer les flocons de maïs, puis les émietter finement, Dans un
petit bol, mélanger les miettes, la poudre à pâte, le sel et le sucre,
Mettre de côté,
Dans un grand bol, battre les oeufs en mousse, Incorporer l'huile
et le lait, Verser les ingrédients secs et continuer de battre
jusqu'à consistance lisse, Laisser reposer environ deux minutes
3, A l'aide d'une mesure de 1/4 de tasse, laisser tomber la pâte à
crêpes sur une plaque préalablement graissée et chauffée,
Retourner une fois, jusqu'à ce que la crépe soit bien dorée sur les
deux côtés, Servir chaude avec une compote de fruits
>
Peut donner jusqu'à 14 crêpes.
Carottes et oignons “Grand Style”
Lorsqu'on est à la recherche d'un légume nutrifif, sa-
voureux et bon marché, n'oubliez pas la carotte. Dis-
ponible à l'année longue, elle est une excellente sour-
ce de vitamine A et fournit également plusieurs miné-
raux importants.
Lors de l'achat de carottes, recherchez celles qui sont
fermes, lisses et bien conformées. Assurez-vous de
l'absence de signes de détérioration et remarquez la
couleur orange car plus elle est foncée, plus la carotte
contient de la vitamine A. Entreposez les carottes dans
un endroit frais comme dans un sous-sol ou réfrigéra-
teur dans un sac de plastique perforé. Une livre de ca-
rottes peut servir quatre personnes.
Pour les cuire, n'utilisez qu'une petite quantité d'eau et
une casserole couverte. On obtient alors un produit à
son meilleur au point de vue saveur, couleur et valeur
nutritive. Les servir légèrement croquantes, nature ou
avec d'autres légumes. Les carottes sont également
délicieuses crues où cuites dans un mets en casserole.
Par ailleurs, les oignons sont un autre légume que l'on
retrouve facilement l'année durant. Ils ajoutent une
touche piquante aux soupes, salades et mets en cas-
serole. Les oignons peuvent être cuits seuls, au four ou
en crème.
En achetant des oignons, les choisir fermes, bien
formés, brillants et à pelure sèche. Les acheter dans
des sacs (en plastique ou genre filet) de 2, 3, 5, 10
livres ou plus. Recherchez la catégorie Canada No 1
pour bénéficier de la meilleure qualité. Conservez les
oignons dans un endroit frais, sec et bien aéré; il se
garderont très bien durant plusieurs semaines.
Les oignons congelés à 0oF peuvent se conserver un
an environ. Pour congeler, il faut enlever la pelure, ha-
cher les oignons et empaqueter en quantités définies
pour différents usages. Avant de les cuire, faire décon-
geler pendant 90 minutes et les utiliser dans les recet-
tes réquérant des oignons hachés.
Les Services consultatifs de l'alimentation, d'Agricul-
ture Canada ont crée pour vous deux délicieuses recet-
tes, l'une utilisant des oignons et l'autre, des carottes.
OIGNONS AU GRATIN
3 tasses d'oignons tranchés
2 c. à table de farine
/2 c.athé de sel
Pincée de poivre
12 tasse (6 onces) de fromage cheddar, râpé
1 c. à table de beurre
1 c. à table d'eau
2 c. à table de chapelure beurrée
Disposer 1 tasse d'oignon dans un plat à four graissé.
Mélanger la farine et les assaisonnements. Saupou-
drer 3 du mélange de farine sur les oignons, puis par-
semer d'Y2 tasse de fromage. Alterner les ingrédients
afin d'obtenir deux autres couches. Parsemer de beur-
re; ajouter l'eau. Couvrir et cuire à 3500F jusqu'à ce
que tendre (environ 1 4 heure). Découvrir, parsemer de
chapelure et continuer la cuisson jusqu'à ce que brun
(environ 10 minutes de plus). Quantité: 6 portions.
CAROTTES A LA POMME
3/2 tasses de carottes en dés
22 tasses de pommes tranchées
V2 tasse de sucre
V2 c.a thé de paprika
2 c. à table de beurre
Bouillir les carottes jusqu'à tendreté. Mélanger les
carottes et les pommes et verser dans un plat à four
graissé. Saupoudrer de sucre et de paprika. Parsemer
de beurre. Cuire à 3750F pendant 30 minutes en
remuant occasionnellement. Quantité: 6 portions.
L'AIDE JURIDIQUE
L'aide juridique s'occupe souvent de cas relevant de
l’'Assurance-Chômage, de cas de compensation aux
travailleurs, de problèmes que peuvent avoir les gens
qui demeurent dans des foyers, de cas: d'assistance
sociale, de problèmes se rapportant à la Cour juvénile.
Pour plus de renseignements, on doit s'adresser au
CENTRE JURIDIQUE (SEM), au 401, boulevard Pro-
vencher, au téléphone: 233-4538.
AVIS AUX AMATEURS DE “SOCCER”.— Un groupe
de fans du ballon rond a décidé de se réunir une ou
plusieurs fois par semaine pour laisser libre cours à
leur amour du sport le plus répandu dans le monde
entier. Lieu de leurs ébats: le terrain de sport du
Collège, le vendredi soir.
Tous ceux (ou celles) qui aimeraient se joindre à ce
groupe sont cordialement invités. Pour plus de détails,
prendre contact avec: Harry Ragoonaden, 233-0446,
ou Jean Lesieur, à La Liberté, 247-4823.
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mateurs des petites cases dans les cerveaux (vous
savez, 50-50, 25:75, etc.), c'est 20-80, C'est-à-dire
qu'au bureau de l'Aide juridique, boulevard Proven-
cher, à Saint-Boniface, on peut s'occuper de vous en
français deux après-midi par semaine, les vendredi
et lundi, Autrement, c'est en anglais, ..
“Bilinguisme'” deux fois la semaine,
LEE
La poutre dans l'oeil, — Le ministre fédéral des Fi-
nances, l'honorable Donald $, Macdonald, il y a quel
ques jours, avouant que la lutte du gouvernement
contre l'inflation n'a pas jusqu'ici donné grand-cho-
se, en a accusé les provinces et les municipalités qui,
a-t-il déclaré, dépensent trop. . , Quand on connait
le Fédéral, , .!
LEE
Nom français, — La compagnie Imperial Oil Limi-
ted, dit-on, songerait à franciser sa raison sociale, I
s'agirait de la ‘Compagnie pétrolière limitée”,
CR
En français, — Au congrès provincial du parti libéral
du Québec, toute la documentation distribuée aux
délégués était en français seulement, il n'y avait pas
de service de traduction simultanée (pour aider les
anglophones), et dans les ateliers et à la plénière, à
peu près personne n'utilisa l'anglais, Les Québécois
n'ont pas de complexes...
LEE]
La soirée du hockey. — Certains se sont étonnés tout
au long de l'année — et plus récemment lors de la
dernière partie entre Montréal et Chicago — que des
parties retransmises sur le réseau français de Radio
Canada dans l'Est ne le soient pas dans l'Ouest, Se-
lon un porte-parole de CBWFT, la raison en serait
que, ces parties n'étant pas retransmises sur le ré-
seau anglais ni dans l'Est ni dans l'Ouest, la firme
détentrice des droits de retransmission des parties
de la Ligue Nationale aurait peur de devoir faire fa-
ce aux revendications de téléspectateurs anglopho-
nes qui s'estimeraient lésés, Mais apparemment, per-
sonne ne s’estime lésé dans l'Est, Alors pourquoi se-
rait-ce différent dans l'Ouest? Les anglophones dé-
sireux de regarder du hockey ici pourraient même
faire d’une pierre deux coups : assister à une partie
de leur sport préféré et apprendre un peu de fran-
çais,
LEE |
Pour mieux combattre l'inflation, — En six mois, le
nombre des employés de la Commission anti-infla-
tion est passé à plus de 600, A la mi-février, la Com-
mission avait prévu, en ‘“budgétant.., qu'il lui fau-
drait 398 employés pour fonctionner...
LEE)
Jardinage, — Avez-vous commencé à préparer le ter-
rain? Vous y gagneriez beaucoup en jardinant cette
année, aux prix où sont les aliments...
LEE |
La révolte des porcs. — Le “Manitoba Hog Producers
Marketing Board” nous fait savoir dans un commu
niqué que les animaux dont il fait commerce sont
sur le point d'organiser des manifestations de protes-
tation contre la campagne qui veut leur faire porter
la responsabilité de l'épidémie de grippe appelée por-
cine (swine flu en angliche), De nombreux vétérinai-
res ont en effet déclaré que les porcs n'avaient rien
à voir avec cette forme de grippe, L'un d’entre eux
a déclaré, quant à lui ÿque la seule manière dont un
porc pouvait transmettre la grippe à un homme était
en se livrant avec lui à des activités contre nature.
*+*
Es-tu “motivé”? — La motivation est un dangereux
facteur de dépersonnalisation, La victime est dispen-
sée d'analyser; elle fait taire les distinguos de sa rai-
son pour ne s’en remettre qu’à la consigne de pul-
sions artificiellement déclenchées, Un enfant ‘’mo-
tivé” à faire une chose plutôt qu’une autre se sou-
met spontanément aux impératifs d’un conditionne-
ment qui le pousse à faire des choix dont le contrôle
lui échappe. Le “motivé” est un aliéné,
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LE
LA LIBERTE, mercredi 28 avril 1976 / 5
Ce sera grande fête au
village de Lorette les 22 et
23 mai pour marquer le
75e anniversaire de l'arri-
vée des Soeurs de Saint-
Joseph de Saint-Hyacin-
the dans l'Ouest cana-
dien, C'est le 12 septem-
bre 1877, au village de la
Providence, Saint-Hyacin-
the, Québec, que naissait
cette congrégation. Le
fondateur était Monsei-
gneur Louis-Zéphirin Mo-
reau et la fondatrice Eli-
sabeth Bergeron.
Vingt ans après la fon-
dation de la congréga-
tion, on réclamait déjà
les services de ses mem-
bres au Manitoba. On
peut se demander com-
ment on a pu réussir à
obtenir des religieuses,
en un temps où elles suf-
fisaient à peine aux de-
mandes de l'Est, et sur-
tout en s'adressant à un
évêque qui avait fondé
une communauté pour
donner de meilleures ins-
titutrices aux enfants des
paroisses pauvres. On
était à l'époque où seules
les classes privilégiées
avaient accès aux collè-
ges et aux couvents. Mon-
seigneur Moreau s'inquié-
tait en 1877 de la pauvreté
de l'enseignement dans
les écoles primaires de
son diocèse, il n'avait
donc pas encore pensé à
répondre aux besoins des
autres paroisses du Qué-
bec, encore moins à ceux
des provinces de l'Ouest.
“Pour lutter contre le protestantisme et l'anglicisation”
L'ARRIVÉE DANS L'OUEST, EN 1901,
DES SOEURS DE SAINT-JOSEPH DE SAINT-HYACINTHE
par SOEUR ANNETTE SAINT-PIERRE, 8.),8.h.
A l'occasion du sacre
de Monseigneur Adélard
Langevin, à Saint-Boni-
face, en 1896, l'évêque-
coadjuteur de Saint-Hya-
cinthe, Monseigneur Dé-
celles, qui avait assisté à
la cérémonie, avait fait
une promesse à l'élu du
jour. Monseigneur Lange-
vin rappelle cet engage-
ment dans la correspon-
dance que nous avons
consultée à l'évêché de
Saint-Hyacinthe, Il faut
dire que les suppliques
ont été nombreuses et
émouvantes pendant les
cinq années d'attente au
Manitoba.
Qui connaissait les
Soeurs de Saint-Joseph
en 19007? Et à qui revient
l'initiative de les faire
venir au Manitoba? Mon-
sieur le curé Joseph Du-
fresne, frère de la deuxiè-
me supérieure générale de
la congrégation, connais-
sait par sa soeur Hen-
riette les débuts et les
objectifs des ‘filles de
Monseigneur Moreau”. Il
voulait des religieuses
pour l'école du village de
Lorette où, ‘on devait lut-
ter contre le protestan-
tisme et l'anglicisation”.
Les délibérations furent
longues entre les évêques
de Saint-Boniface et de
Saint-Hyacinthe. Des
conditions sont claire-
ment émises dans une
lettre de Monseigneur Dé-
celles adressée à Monsei-
gneur Langevin le 25 jan-
La fondatrice des Soeurs de Saint-Joseph, Mère Saint-
Joseph [Elisabeth Bergeron]. — Agée de 26 ans, Elisa-
beth Bergeron, avec trois autres filles aussi pauvres
qu'elle, quittent la demeure de son père Théophile
Bergeron, pour se diriger vers une modeste maison
choisie par Monseigneur Moreau. Cette pauvre école
de La Providence, à Saint-Hyacinthe, devenait la rési-
dence de la nouvelle communauté et l’école primaire,
où l’on accueillera quelques enfants du village. C'était
le 12 septembre 1877.
6 / LA LIBERTE, mercredi 28 avril 1976
vier 1901, On y parle des
diplômes des soeurs qui
doivent être acceptés par
le Ministère de l'Educa-
tion, du chauffage de
l'école, des livres utilisés
par les élèves, etc... No-
tons quelques points inté-
ressants stipulés dans les
articles deux et cinq de la
même lettre. ‘Les soeurs
ne tiendront pas de pen-
sionnat en aucun temps
— mais les élèves (filles)
pourront coucher jus-
qu'au vendredi soir, alors
qu'elles devront retour-
ner — à moins de raisons
graves (tempêtes et che-
mins très mauvais) dans
leurs familles. Si les
soeurs les nourrissent, on
paiera $5.00 par mois avec
10 sous pour chaque re-
pas qui pourrait être pris
entre le vendredi et le
lundi, Si les parents four-
nissent les aliments, on
chargera $1.50 par mois.
Les soeurs n'auront pas
le Saint-Sacrement dans
leur maison, afin de pou-
voir plus facilement don-
ner le bon exemple à la
paroisse, en se rendant
à l'église pour la messe et
la visite au Saint-Sacre-
ment'', On comprend
maintenant la frugalité
des repas de ce temps;
on se rend compte aussi
que Monseigneur ignorait
la pauvreté des paroisses
catholiques au Manitoba
où les églises ne sont
pas chauffées durant la
saison froide.
Le départ de huit jeu-
nes religieuses pour Win-
nipeg s'effectua le 21 août
1901. Quatre d'entre elles
devaient se rendre en Sas-
katchewan et les autres
devenaient les fondatrices
du couvent de Lorette.
C'étaient Soeur Saint-
Louis de Gonzague (Elise
Blanchette de la Présenta-
tion), Soeur Saint-Léon
(Alida Robichaud, de
Nashua, New Hampshire)
Soeur Sainte-Anastasie
(Rose-Alma Bélisle de
Saint-Guillaume) et Soeur
Saint-Jean-Baptiste (Ma-
rie-Luce Cormier de Saint-
Pie de Bagot).
Monsieur le curé Jo-
seph Dufresne accueillit
les voyageuses à la gare
de Winnipeg, le vendredi,
23 août 1901 à 12h15. On
se dirigea immédiatement
vers Saint-Boniface où le
Grand Vicaire, l'abbé Aza-
rie Dugas, reçut les “mis-
sionnaires"” à l'archevé-
ché. Ensuite, on se rendit
à la maison vicariale des
Soeurs Grises pour y
prendre le diner. Après
avoir quitté les quatre re-
ligieuses qui se rendaient
en Saskatchewan, Mon-
sieur le Curé Dufresne
accompagna celles qui
devaient s'installer à Lo-
rette, On prit le train et, à
l'arrivée à la gare de Loret-
te, trois carosses atten-
daient les fondatrices. Le
premier carosse était con-
duit par Monsieur William
Lagimodière, député, et
les autres par deux pa-
roissiens de Lorette dont
l'un était Monsieur Jean
Arpin.
Après une visite au
presbytère de la paroisse,
on se rendit à l'église.
Pour souligner l'heureux
événement, on sonna la
cloche que nous retrou-
vons aujourd'hui dans le
clocher du couvent de
Lorette. Cette cloche avait
été donnée pour l'église
de Lorette par Monsieur
Jean-Baptiste Lagimodiè-
re, fils, surnommé La
Prairie, Les dames du vil-
lage avaient préparé le
souper dans le couvent
temporaire qui compre-
nait quelques apparte-
ments séparés des salles
de classe. Les religieuses
déménageront dans une
maison neuve dès le 31
août suivant.
A l'école, l'inscription
se chiffra à 95 élèves, de
la première à la cinquiè-
me année. Deux institutri-
ces se partageaient la tâ-
che. En 1903, on avait 3
classes et neuf élèves en
musique. En 1913, on
comptait 4 institutrices
enseignantes. En 1921,
on agrandissait le cou-
vent car il y avait 8 reli-
gieuses de Saint-Joseph
à Lorette. On y enseignait
alors la onzième année
et le total des élèves s'éle-
vait à 122.
Pour assurer le gfte aux
étudiantes qui désiraient
être pensionnaires à Lo-
rette et, en même temps,
permettre la rencontre des
religieuses de l'Ouest, on
construisit un couvent en
1959, Les soeurs Hélène
Dion et Clarisse Berge-
ron menèrent le projet à
bonne fin, Une maison
très confortable pouvait
loger une cinquantaine
de pensionnaires et une
trentaine de religieuses.
Actuellement, 16 reli-
gieuses vivent au couvent
de Lorette. Les unes à la
retraite partagent leur
temps entre la prière, la
visite aux malades; les
autres sont plus actives:
institutrices, secrétaires,
bibliothécaire.
Le 22 mai, les 74 mem-
bres de la congrégation,
présentement dans
l'Ouest, invitent parents
et amis à une messe d'ac-
tion de grâces et à une
réception à l'Ecole Lagi-
modière, Des centaines
d'invitations ont été a-
dressées aux quatre coins
de la province, Le 23 mai,
ce sera l'Alumni à Lorette.
On se réjouit à l'avance
à la pensée de revoir les
anciens étudiants, profes-
seurs, commissaires et
inspecteurs d'écoles. Par-
dessus tout, la joie de
revoir Mère Catherine Far-
mer, supérieure générale
de la Congrégation et an-
cienne directrice de l'éco-
le secondaire de Lorette.
(À SUIVRE)
Les quatre premières religieuses de la
congrégation des Soeurs de Saint-
Joseph de Saint-Hyacinthe, à venir
au Manitoba (1901).
De gauche à
droite, Soeur Saint-Louis de Gonza-
gue (Elise Blanchette), Soeur Sainte-
Anastasie
(Rose-Anna
Chèvrefils),
Soeur Saint-Léon (Alida Robichaud),
et Soeur Saint-Jean-Baptiste (Marie-
Luce Cormier). Les gens de Lorette,
les moins jeunes, seront touchés de
cette photo qui leur rappellera des
souvenirs...
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droits des Franco-Manitobains dans la
mesure où une proportion infime de la
population atteignait ce niveau d'ins-
truction,
UNIS FACE À LA RÉPRESSION
Face à cette décision, les Franco-Ma-
nitobains s'unirent et s'organisèrent
au sein de l'Association d'Education
des Canadiens-Français du Manitoba
dont le premier congrès devait démon-
trer dès juin 1916 une unité parfaite
de tous les francophones de la provin-
ce.
Grâce à l'existence de cet organisme
para-politique fort et efficace, grâce à
la détermination de la population fran-
co-manitobaine et du personnel en-
seignant, les francophones de la pro-
vince continuèrent d'ériger un système
d'éducation parallèle,
Tout le monde se groupa derrière
l'Association et, malgré la loi, collabo-
ra étroitement à la mise au point et à la
réalisation d'un programme d'études
françaises, Cette détermination et
cette union empêchèrent les menaces
de devenir réelles. Au point que Lionel
Groulx pouvait écrire dans les années
20: ‘La persécution de 1916, loin de
dissoudre les énergies, les a réveil-
lées, tonifiées, et l'école française,
pour précaire que reste sa condition,
n'a jamais été plus robuste ni plus
efficace”.
LA RECONNAISSANCE
OFFICIELLE
Le militantisme des Franco-Manito-
bains commença bientôt à porter ses
fruits. Et le statut officiel du français
s'améliora graduellement.
RESERVEZ LES 25, 26, 27 JUIN
(vendredi, samedi, et dimanche)
D’hier à aujourd’hui (suite)
Dès 1931, le Teacher's Guide, publié
par le ministère de l'éducation, faisait
état de la possibilité d'employer des
“méthodes d'enseignement différen-
tes là où la langue de la population est
autre que l'anglais”,
En 1953, le Frère Bruns prépara un
rapport sur l'enseignement du fran-
çais dans les grades 1 à 6 des écoles
publiques, L'auteur de ce rapport fai-
sait appel à des arguments qui com-
mençaient à faire leur chemin dans
l'opinion publique, d'ordre pédagogi-
que, culturel, et politique, et préci-
sait que l'enseignement du français
au Manitoba contribuerait à solidifier
l'unité nationale.
En mai 1955, le Manitoba School! Jour-
nal donnait officiellement avis que le
ministère autorisait l'enseignement du
français dans les années 4 à 6.
Les pressions des Franco-Manito-
bains continuèrent de s'accentuer par
l'intermédiaire de l'AECFM.
En. 1959, une commission royale
d'enquête sur l'éducation recomman-
da que l'on puisse enseigner le fran-
çais à partir de la première année. Cet-
te même année, le ministère approuva
une liste de manuels d'enseignement
qui pour la première fois faisait res-
sortir la distinction entre le français
destiné aux francophones et le fran-
çais destiné aux anglophones,
Plus tard, le Premier Ministre lui-mé-
me, Duff Roblin, dans un discours
qu'il prononça en français, se déclara
en faveur de l'enseignement du fran-
çais dans les écoles dès la première
année, moyen efficace", disait-il, ‘de
bénéficier de l'héritage culturel de
notre pays”,
Enfin, le 4 juillet 1963, le ministre
de l'éducation Stewart McLean déclara
à Brandon qu'un nouveau programme
d'enseignement du français pour les
enfants de langue maternelle française
serait mis en place au mois de sep-
tembre de cette même année.
UNE DÉCISION QUI EN APPELLE
D'AUTRES
Cela ne suffisait pas, Le contexte s0-
cial dans lequel les Franco-Manito-
bains évoluaient avait en effet changé
grandement tout au long de cette lutte
qui aboutissait avec cette décision du -
4 juillet, La disparition progressive de
la vie familiale et communautaire, l'in-
fluence grandissante des media anglo-
phones, entraïnèrent la disparition
graduelle des Mots de vie et de culture
française où le problème principal
était, dans la première moitié du
Siècle, l'apprentissage de l'anglais
langue seconde,
Le bilinguisme du début du siècle était
un bilinguisme à deux volets dis-
tincts: deux groupes distincts, deux
langues distinctes, deux modes de vie
distincts.
Il était maintenant conçu en termes
de communication à sens unique entre
une minorité et une majorité dans la
langue de la majorité.
Les éléments du problème avaient
donc radicalement changé. Tout le
monde savait l'anglais. Le problème
était maintenant de ne pas perdre le
français. k
Le 16 juillet 1963, le député Laurent
Desjardins, dans une lettre ouverte
au Premier Ministre, demanda au gou-
vernement de reconnaître le principe
du bilinguisme scolaire, de former des
maîtres en français, et de permettre
l'enseignement en français dans des
matières autres que le français, L'As-
sociation des Commissaires de Lan-
gué Française abonda dans le sens
des propos du député, et déclara que
le temps était venu où ‘le français doit
devenir langue d'enseignement, et pas
seulement sujet d'enseignement",
En avril 1967, la loi 59 fut votée, Elle
autorisa l'emploi du français comme
langue d'enseignement de toute ma-
tière pendant la moitié de la journée
Scolaire au plus. Cependant, les règle-
ment de la loi limitèrent l'emploi du
français aux matières non scientifi-
ques.
Trois ans plus tard, soit en 1970, le
gouvernement Schreyer proclamait la
loi 113 qui faisait du français, au mé-
me titre que l'anglais, une des deux
langues officielles dans le domaine
de l'enseignement au Manitoba, Par
cette loi, le français devenait, comme
l'anglais, langue d'enseignement dans
la province.
En 1971, le gouvernement créait une
section française chargée de mettre
au point des programmes d'études.
Puis en coopération avec quelques di-
visions scolaires offrant déjà un pro-
gramme français d'études, le minis-
tère lança le premier programme im-
porant de développement de l'éduca-
tion française en 1972—73,.
(SUITE, PAGE 17)
LES FRANCO-MANITOBAINS
1970 - 1976
: pour
La SAINT-JEAN-BAPTISTE Plus ça change...
| Fête des Franco-Manitobains Plus c’est pare ill!
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du 30 avril
au 8 mai
Windsor? Aimeriez-vous inscrire votre enfant de 4 ans à cette mater-
nelle française?
Jean-Louis Hébert
dans le rôle de Louis Riel
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La maternelle, tout en préparant votre enfant pour le jardin, lui permet
de rencontrer d'autres camarades de son âge, de s'amuser, parler et
vivre en français.
Une production du Cercle Molière présentée par...
Si un tel programme vous intéresse, venez à notre soirée d'informa-
tion le 3 mai à 20h30, à l'école Lacerte. Un goûter sera servi.
K? LES CAISSES POPULAIRES DU MANITOBA
Pour plus de renseignements, communiquez avec Germaine, au 256-
2896, Jeannette au 256-4989, ou Cécile au 257-2252,
LE CONSEIL JEUNESSE PROVINCIAL
ATTENTION! ATTENTION!
LES CONSEILS LOCAUX
Vous êtes convoqués le 1er mai, à une réunion de planification au Centre culturel
franco-manitobain. Votre exécutif vous attend. || n’y a aucune raison que votre con-
seil ne soit pas représenté. Votre président est chargé de trouver deux représentants.
Voyez-y!1!!
|, À LIBERTE, mercredi 28 avril 1976 / ©
(spectacles et arts)
Les Gais Manitobains
L'ensemble folklorique, Les Gais Manitobains, recherche des jeu-
nes intéressés à faire partie du groupe SPECTACLE, une équipe dis-
ciplinée qui a pour but d'initier des spectacles folkloriques démon-
s trant la joie de vivre canadienne et franco-manitobaine. Des projets
et des voyages intéressants pour le groupe sont déjà planifiés pour
la saison prochaine. Si vous êtes intéressés à faire partie de ce
groupe (l'expérience n'est pas un prérequis) communiquez avec LES
GAIS MANITOBAINS, 340, boulevard Provencher, Téléphone: 233-
8972.
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8 / LA LIBERTÉ, mercredi 28 avril 1976
DES FILMS FRANÇAIS
A l'occasion de la ses-
sion en Mass Media qui
se tiendra au Collège Uni-
versitaire de Saint-Boni-
face, l'Office des Com-
munications Sociales of.
frira au public vendredi
le 7 mai à 20h00 à la salle
Caron, un film de haute
qualité, LA CHAISE VIDE,
“LA CHAISE VIDE" est
un drame en couleurs réa-
lisé par Pierre Jallaud, —
Thème: — “La vie quoti-
dienne d'une mère céliba-
taire, ou une solitude
habitée à deux niveaux"
— évocation discrète trai-
tée avec une rare délica-
tesse,
Ici, la relation mère-
enfant est vécue sous nos
yeux, dans le souvenir du
père, dont l'absence est
comme une présence in-
térieure. Ce poème où le
petit CYRIEL STOCKMAN
et MARTINE CHEVALIER
représentent, avec un na-
turel parfait, l'Enfant et la
mère, entre les quatre
murs d'une chambre aux
couleurs de pastel, est
visité par la musique, re-
On annonce qu'un THÉ DU PRINTEMPS aura lieu à
l'école ‘Queen Elisabeth", au 363, de la Promenade
Enfield, le 7 mai, de 14 à 17 heures et de 19 à 21 heures.
Parents, anciens de l'école, enseignants et résidents
des alentours sont cordialement invités. L'entrée coûte
50 sous. 2
NOTRE-DAME-DE-LOURDES
Le quatorzième festival de musique et activités ryth-
miques aura lieu à Notre-Dame-de-Lourdes les 3, 4, 5
et 6 mai. La première séance aura lieu lundi soir le 3
mai à 7h30 à l'Institut collégial Notre-Dame. Tout le
monde est bienvenu.
CONCERT
Les orchestres des écoles de Winnipeg présenteront
leur concert annuel en la salle du Centenaire de Winni-
peg mardi, le 5 mai à 20 heures. On peut obtenir des
billets en composant 233-6242 ou à l'entrée, le soir du
concert. Adultes: 52.00, étudiants et personnes de
l'âge d’or: $1.00. Deux orchestres et deux fanfares
composées d'élèves de la quatrième à la douzième
année offriront des oeuvres variées. Marie-Claude
Brunet, Michel Forest, Lise et Alain Gautron, Marc
Kolt, tous de Saint-Boniface, sont membres de ces
orchestres. Si d'autres jeunes musiciens veulent deve-
nir membres de ces orchestres au début de la
prochaine année scolaire, ils doivent s'adresser à
madame Mary Pauls, au 489-6373.
“LES INTRÉPIDES" EN CONCERT
Le 16 mai prochain en la salle Pauline-Boutal, la Chora-
le des Intrépides présentera la basse bien connue,
Fernand Girard. Sa voix chaude et profonde dans un
répertoire des plus variés saura vous émouvoir. Ce
n’est pourtant qu'une partie de la surprise puisqu'il y
aura à ce concert des sourires angéliques. . . nous y
reviendrons. Procurez-vous vos billets au C.C.F.M. au
prix de 3 dollars pour le concert de 20h30 et de 1 dollar
pour la matinée à 14 heures.
Louis Molin, secrétaire
LE CHÂTEAU
tenue et discrète, de l'o-
carina de MAXIME LE
FORESTIER, qui a peur
de briser le charme mira-
culeux de cette solitude
comblée, Le père de l'en-
fant, joué par DANIEL
QUENAUD, n'est qu'un
souvenir, mais il fait par-
tie de la vie intérieure de
la mère et de l'enfant,
pièce nécessaire à la soli-
tude de leur univers et à
leur douloureuse espéran-
ce,
Film à voir:
Entrée: Adultes 51,50
Etudiants: $1.
LE MILIEU DU MONDE
(Middle of the World) —
film bientôt à l'affiche au
Kings avec version fran-
çaise. Film suisse. Dra-
me psychologique réali-
sé par Alain Tanner.
Un jeune ingénieur ma-
rié et père d'un enfant,
Paul Chamoret est choisi
comme candidat à la dé-
putation de son comté.
Au cours d'une réunion
électorale, il rernarque
une serveuse d'origine ita-
lienne, Adriana, et cher-
che à la revoir. Il entame
avec elle une liaison qui
risque de compromettre
sa carrière politique. De
fait il est battu aux élec-
tions... et...
Dès le départ, le réali-
sateur prend une certaine
distance avec son sujet
qu'il traite avec une élé-
gante froideur. L'intrigue,
pour simple qu'elle appa-
raisse, se développe à
plusieurs niveaux et la
mise en scène fait sentir
de façon subtile les pres-
sions sociales et les obs-
tacles psychologiques
auxquels doit faire face
l'amour précaire des pro-
tagonistes. Un découpage
soigné et un rythme lent
font ressortir la justesse
des observations et l'in-
terprétation apparait na-
turelle tout en laissant
deviner la complexité des
personnages.
À travers l'évocation
d'une liaison éphémère,
ce film livre un constat
désenchanté sur les rela-
tions humaines et les
pressions sociales.
Communications sociales
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POUR UN
RÉSEAU
D'ÉCOLES
FRANÇAISES
Il n'existe en ce moment
au Manitoba pas de pro-
gramme-cadre, donc pas
d'écoles, donc pas de ré-
seau d'écoles françaises,
tel que préconisé par le
document de travail du
Bureau de l'Education
Française (B.E.F.) intitulé
“Pour un réseau d'écoles
françaises au Manitoba”,
PARCE QU'IL N'EXISTE
PAS AU MANITOBA DE
POLITIQUE OFFICIELLE
D'EDUCATION FRAN-
ÇAISE.
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la région dans un rayon de 20 milles
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Le Festival Bach
Les organisateurs du
Concours BACH ont inno-
vé cette année, abandon-
nant la formule d'équipes
représentatives d'écoles
pour adopter celle du Fes-
tival de Granby où ce sont
des individus qui s'affron-
tent devant un jury. La
première sairée de ce con-
cours nouvelle formule
s'est déroulée le week-
end dernier au Cent Nons,
et elle a permis à onze dé-
butants de se qualifier
pour les demi-finales du
week-end prochain, On
reconnait sur nos photos,
de gauche à droite, en
haut: Jacqueline Massi-
cotte, de Saint-Pierre, Li-
se Martel, de Saint-Clau-
de, Marc D'Eschambault,
de l'Ecole Guyot, Susan
Barton, de Sainte-Rose,
et Martine Brunette, de
Lorette. En bas: Alain
Boucher, du Petit Sémi-
naire, Jeannine Rosset,
de Saint-Claude, Rose-
Marie David, du Précieux-
Sang, Pauline Lamou-
reux, du Précieux-Sang,
Doris Pantel, de l'Ecole
Guyot, et Gilles Petit, du
Petit Séminaire. Quatre
de ces chanteurs en herbe
se qualifieront pour la
finale. Pour inspirer ces
participants, on avait fait
venir Monique Fillion qui,
depuis sa brillante per-
formance de Granby (elle
s'était classée deuxième
à ce festival d'envergure
nationale), n'avait pas fait
bénéficier le public du
Cent Nons de son im-
pectacles et arts
—— LA LIBERTE, mercredi
mense talent. Rendez-
vous samedi et dimanche
prochain pour les demi-
finales de la catégorie
débutants et le début de
la compétition des semi-
débutants. Gilberte Bohé-
mier sera également de la
fête.
28:avril:1976 /:9
Informations
agricoles
Louis Molin est l'animateur de l'émission
Louis Molin
vendredi,
Actuel agricole, qui passe sur les ondes de
CKSB de 7h10 à 7h30 a.m., du lundi au
LE CONGRÈS DU CONSEIL DES GRAINS
Le sujet brûlant qu'a ex-
posé le président de l'As-
sociation du développe-
ment de la voie maritime
des grands lacs, M, Jack
McDonald, est l'augmen-
tation possible des taux
et tarifs sur la voie mari-
time, Toutes augmenta-
tions imposées par le Ca-
nada sur les taux et tarifs
de la voie maritime cana-
dienne seront préjudicia-
bles à notre commerce et
toucheront directement
les producteurs de grains
de l'ouest. Il en coûte
actuellement aux cargos
employant la voie mariti-
me 15,000 dollars et les
augmentations prévues
ponsable de la Commis-
sion canadienne du blé,
M. Otto Lang, a déclaré
que les augmentations
prévues sur les transports
et tout spécialement sur
les taux et tarifs de la voie
maritime, étaient inévita-
bles. Les usagers, a-t-il
dit, doivent comprendre
qu'ils doivent payer pour
un tel service à moins
qu'ils puissent prouver
qu'ils sont dans l'incapa-
cité de le faire. On envisa-
ge donc l'avenir avec de
grandes difficultés d'aug-
menter ou même de main-
tenir un retour équitable
pour les producteurs. Il
faudra une fois de plus
taux et tarifs sur la voie
maritime, Ils ont aussi
accueilli favorablement
l'annonce par le Conseil
des grains d'un marché
potentiel en Corée du sud
pour l'orge fourragère et
les suppléments protéi-
ques, À ce sujet, le pro-
blème demeure de pou-
voir offrir et vendre nos
grains à des prix compé-
titifs. La double menace
qui plane actuellement
sur nos marchés est d'u-
ne part, l'incertitude de
production reliée aux con-
ditions climatiques et
d'autre part, les décisions
politiques qui affecteront
la manutention et le trans-
LA REVUE DES
MARCHÉS À TORONTO
Les prix des taures et des
boeufs engraissés mon-
taient de 1$50 du 100 li-
vres au début de la se-
maine; en raison des ar-
rivages considérables
vers la fin de la semaine,
les prix fléchissaient clô-
turant au niveau de la se-
maine précédente, Les
taures étaient cependant
moins touchées et les va-
ches et les taureaux con-
servaient les gains du dé-
but de semaine,
Les prix des veaux de
boucherie et du bétail
pour l'élevage et l'engrais-
sement étaient en hausse.
Les prix des brebis fai-
blissaient légèrement tan-
dis que ceux des agneaux
LA BANQUE FÉDÉRALE
DE DÉVELOPPEMENT À SAINT-BONIFACE
La Banque fédérale de
développement, qui four-
nit des services financiers
et de gestion-conseil aux
petites entreprises, ou-
vrait officiellement au-
jourd'hui ses bureaux de
la succursale de Saint-
Boniface au 851 du boule-
vard Lagimodière à Win-
nipeg.
Au cours de la réception
à laquelle assistaient des
personnalités des milieux
de l'administration muni-
cipale, des affaires et
des professions, M, AE.
Laforest, directeur de la
succursale, présentait M,
S,. Kanee, président du
conseil d'administration
de la Banque à Winnipeg.
M. E. R. Clark, vice-pré-
sident et directeur géné-
ral en chef de la Banque
à Montréal, et M. R. H,
Wheeler, directeur géné-
ral de la région des Prai-
ries et du Grand Nord à
Winnipeg. Ils ont décrit le
travail de la Banque, en
faisant remarquer qu'elle
fournit une aide financiè-
re-aux entreprises au
entreprises de tous gen-
res qui sont incapables
d'obtenir d'autres pré-
teurs le financement dont
elles ont besoin à des
conditions acceptables,
La Banque administre
également un service de
consultation aux petites
entreprises, connu sous
le nom de CASE, et un
service de formation en
gestion dans le cadre
duquel des séminaires
sont tenus hors des gran-
des villes sur des sujets
qui intéressent les pro-
priétaires et dirigeants de
petites entreprises, La
Banque fournit également
des renseignements sur
un grand nombre de pro-
grammes gouvernemen-
taux d'aide à l'entreprise,
Le bureau de Saint-Boni-
face avait ouvert ses por-
tes dans des locaux provi-
soires en septembre der-
nier pour servir les entre-
prises de l'est du Manito-
ba qui relevaient aupara-
vant du bureau de Winni-
peg. La Banque compte
dans le secteur de Saint-
par la commission d'étu- trouver de nouveaux port des grains. de saison montaient for-
de porteraient ce chiffre moyens d'écouler nos Les prédictions d'ense- tement. Mn ALL Rod re re 7 A
à 22,500 dollars; cette produits. mencements du blé par À WINNIPEG tal-actions et d'autres fa- prêts d'environ $6 mil-
augmentation se répercu-
terait forcément sur les
Si l'on voulait définir briè-
vement le rôle du Conseil
le Conseil des grains du
Canada sont inférieures
CETTE SEMAINE
Les prix des animaux de
çons. Elle le fait pour les
lions.#
An AAAINeIAUER des grains du Canada, il d'environ 3 millions d'a- boucherie ont varié de
Ce qui est peut-être plus faudrait dire tout d'abord At RAR HA LA à stables à fortement en
| de liai- Celles de Statistique Ca- hausse. Les boeuf ? K
RAR DcA AU Éessee aont Ein ven Lettre à LA LIBERT
c'est que les navires em-
ployant actuellement la
voie maritime descendent
chargés de grains cana-
diens et remontent avec
du minerai américain.
L'augmentation des taux
pourrait détourner les a-
méricains de ce mode de
transport et les cargos
devraient alors remonter
son pour établir le dialo-
gue entre les différents
intéressés de cette vaste
industrie. En plus de re-
grouper les efforts des
producteurs et des gens
du commerce pour obte-
nir une plus haute renta-
bilité, le Conseil joue
aussi le rôle d'aviseur tant
dans le domaine de la re-
nada. Cette différence
marque peut-être le réa-
lisme du Conseil en ce qui
a trait à l'écoulement des
blés de qualité sur le mar-
ché international. Notre
blé dur de printemps est
désiré et apprécié mais
tous nos clients éventuels
ne sont pas assez riches
pour l'acheter.
graissés se sont bien ven-
dus dès l'ouverture en rai-
son de la demande; vers
la fin de semaine, leurs
prix baissaient de 1$ à
1$50. La vente des taures
a suivi la même courbe
et leurs prix clôturaient
25 à 3$ moins cher.
Les prix des vaches en
Éducateurs ou bousilleurs?
Monsieur le Rédacteur,
“Tu veux ou tu ne veux
pas?”, article publié dans
LA LIBERTE ainsi que
le bôuttt de tôuttt”'. Mais
attention! Le Québecois
nous prévient: “Faut pas
que vôus barrez la rôuttt."
Educateurs profession-
CS Fa À hausse à l'ouverture, ga-
la voie maritime sans RUR que dans le Mar- À ce sujet, beaucoup gnalent 2$, leur ke ts une Eu rt nels, il existe des cours
ing. at d'avl eurs Fre .
charge payante. Cette g sont d'avis quil faudra Se chsuite ralentie et de perfectionnement. A-
perspective coûterait aux
céréaliculteurs des prai-
ries, une augmentation
des coûts de transport
qu'ils sont incapables de
payer aux prix actuels
des céréales.
Le groupe Palliser, forte-
ment représenté au con-
grès, s'est dit inquiet des
politiques encourageant
le développement des fa-
cilités portuaires du Paci-
fique. Ces mesures sont
détrimentales aux compa-
gnies de grains opérant
sur le continent en favori-
Dans l'est du pays, le
Conseil s'est penché sur
l'importance de subvenir
aux besoins locaux en cé-
réales fourragères; à cet
effet, toute la question
du transport par voie
d'eau est vitale. Pour la
même raison et aussi
pour assurer des réser-
ves suffisantes aux ports
de l'Atlantique, le Con-
seil a chargé le docteur
Elizabeth Candlish de fai-
re une étude sur les facili-
tés portuaires de la côte
est.
diversifier nos cultures de
blé et pouvoir garantir à
nos clients outremer des
prix compétitifs et des
classes de blé qui con-
viennent à leurs besoins
et à leurs pouvoirs d'a-
chats. Nos producteurs
du Manitoba sont cons-
cients des difficultés et
à l'exemple des produc-
teurs des provinces, ils
seront les premiers à
transformer leurs produc-
tions s'ils sont guidés par
tous les responsables du
marketing d'une façon
leurs prix clôturaient au
niveau de ceux de la se-
maine précédente.
Les prix des taureaux en
hausse au début de se-
maine se sont maintenus
jusqu'à la clôture.
Les veaux lourds de bou-
cherie se sont bien ven-
dus, leurs prix se sont
accrus d'environ 2$50
pour la semaine.
Les animaux pour l'éleva-
ge et l'engraissement ont
êté vensus jusqu'à 3$ plus
bains, fait l'éloge du ré-
seau des écoles françai-
ses et encourage la popu-
lation à appuyer la diffu-
sion de ce réseau et dis-
siper toute confusion.
Comment les auteurs
de cet article veulent-ils
promouvoir la langue
française et vanter ‘la
langue de Molière” en em-
ployant le mot ‘“enfar-
ger'? N'existe-t-il pas as-
sez de mots dans notre
belle langue sans en for-
ger? Ou bien veut-on dé-
velopper un jargon mani-
lors profitons-en! Soyons
sérieux quand nous par-
lons d'éducation! Educa-
teurs ou bousilleurs?
Dans ce même article,
on parle de “l'état débile
où se trouve la langue de
la jeune génération.
Peut-on blâmer nos jeu-
nes quand six messieurs
du conseil exécutif des
EFM apposent leur signa-
ture à un article qui ‘“en-
farge"?
Il ne faut pas croire
que les octrois de déve-
loppement feront des mi-
ANT dalle Qui ont'des Les centaines de délé- SAR D aNIAsRe cher en raison de l'ample | tobain à la suite du racles. Les éducateurs
établissements portuaires gués représentant 28 or- d Ale ANR: dat demande. Le commerce | “joual"? N'est-ce pas là doivent être sincères dans
existante. ganisations dans l'indus- des 9 des agneaux de saison à | unexemple de confusion? leur tâche. L'effort est
trie des grains se sont de résoudre le problème été mauvais et les prix nécessaire. || faut bien se
Invité comme orateur au préoccupés entre autres, qui consiste à fournir à fortement en baisse. Je comprends un tel je redire: “Il ne s'agira
congrès, le ministre res- de la hausse possible des la demande mondiale language venant de js que de se faire vio-
croissante et d'assurer un
retour équitable aux pro-
Les prix des porcs va-
riaient de 61$70 à 60$91,
Raôul Duguay ou Yaugud
Luôar qui écrit et nous
lence à soi-même."
A
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Animaux de boucherie exportés: 450 —- C d L h
E CONFIANCE Porcs exportés: 485 - anu a 174 (ing !
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10 / LA LIBERTE, mercredi 28 avril 1976
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(«C> COUP
Gé #7 $
” DOEIL
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Denis Mercier dans le rôle de François aux
Beaux Dimanches (article en page 3).
QU
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MANITOBA ‘76
MARDI 4 MAI À 22H:
MANITOBA 76 OUVRIRA UN DOSSIER SUR LE
BUREAU DE L'ÉDUCATION FRANÇAISE
- avec un petit historique du Bureau de l'Éducation Fran-
çaise, afin de le situer lors de l’arrivée, en 1972, de
Monsieur Olivier Tremblay.
- on suivra ensuite, étape par étape, le travail accompli
par cet organisme.
- on cherchera à répondre à la question: “qu’adviendra-
t-il lorsque Monsieur Olivier Tremblay sera parti?”
L'émission se terminera sur des commentaires de per-
sonnes qui ont vu et suivi de l’extérieur, le réle et le tra-
vail du Bureau de l'Education Française.
Téléroman
Y a pas de problème
lundi 3, 20 h 00
Hervé échappe
de justesse
à la mort
Comme en font foi ces pho-
tos, il y a des problèmes à Y a
pas de problème, le populaire
téléroman de Réginald Boisvert
diffusé tous les lundis à 20 heu-
res, à la chaîne française de té-
lévision de Radio-Canada.
A la suite de quel incident ou
de quelle fausse manoeuvre ou
* distraction le pauvre Hervé Bru-
nelle a-t-il failli être broyé sous
les énormes roues de sa cara-
vane? C'est ce que les téléspec-
tateurs apprendront lors du
prochain épisode de Y a pas de
problème, le lundi 3 mai à 20
heures, mettant en vedette no-
tamment Lionel! Villeneuve dans
le rôle d'Hervé Bruneile. Y a
pas de problème est une réalisa-
tion de René Verne
CKSB
1050
Coup d'oeil radio
Du lundi au vendredi à midi, Le temps
qui chante, à CKSB, s’est donné pour
but de diffuser sans facons, de la musi-
que légère ou classique. Quant à son
animateur-responsable, il s’agit de
Pierre Perreault qui, comme cela se
voit, est un gars bien sympathique,
fantaisiste et poète à sa manière.
Tout le monde est vieux
C’est en étudiant les titres des chansons de l’émission
Noctambules du ler mai que m’est apparue tout à coup
la vérité contenue dans le titre de ces quelques lignes.
Au premier abord, l’énoncé fait redresser l’échine, mais
à bien y penser. . . chacun vieillit, de jour en jour,
d’heure en heure, qu’il ait 60 ou 6 ans. Et comment
peut-on vieillir sans jamais devenir vieux? La conclusion
de ce raisonnement, que certains diront sophistique,
est que tout le monde est vieux. Mais nul n’est besoin
de recourir à la logique, souvent trompeuse, pour
affirmer que tout le monde est vieux. La vieillesse,
comme toute réalité humaine, est relative. Aux yeux du
bambin de 5 ans, son frère de 17 ans est vieux; aux yeux
du fonctionnaire de 64 ans, le retraité de 66 ans est
vieux; aux yeux des adolescents, tous ceux qui ont dé-
passé la trentaine sont vieux.
C’est pourquoi nous invitons tous nos auditeurs, de 6
à 90 ans, à se joindre à Daniel Poulin à l’émission Noc-
tambules, samedi soir. Il a choisi une douzaine de
chansons sous le thème: ‘‘vieillir’’. Dans la trentaine, la
quarantaine, la cinquantaine et jusqu’au bout de son
âge. Pour certains à deux, pour d’autres en ermite.
Vieillir: pour un copain, un grand-frère, un père, une
grand-mère et soi. Vieillir: pour tous, samedi à 23h, à
l'émission Noctambules.
L'histoire du coeur
A l’automne prochain la radio de Radio-Canada CKSB
mettra en ondes une nouvelle émission qui sera entendue
chaque semaine durant le week-end et qui demande,
dès maintenant, la participation des auditeurs.
Il s’agit de découvrir et de parler des ‘‘émotions des
canadiens français’” à travers la correspondance privée.
Il existe plusieurs façons de traiter l’histoire. La corres-
pondance constitue un moyen particulièrement atta-
chant et sensible de par sa résonnance humaine. Ce
moyen de percevoir l’histoire présente aussi l’avanta-
ge de ne pas avoir été exploité et de ce fait peut nous
révéler des aspects particulièrement intéressants et iné-
dits.
L'émission recherche des témoignages simples, vécus,
de notre vie quotidienne depuis le milieu du siècle der-
nier, témoignages qui peuvent s’exprimer au fil d’une
correspondance traitant des affaires, des voyages, de la
famille, de la vie sentimentale, de la santé. . ., etc.
Si vous possédez dans votre grenier ou dans votre secré-
taire une correspondance de personne à personne qui
réponde à ces critères vous pouvez le faire savoir par
écrit au réalisateur: Robert Blondin, Radio-Canada,
Case postale 6000, Montréal, H3C 3A8, ou en télépho-
nant (frais virés si nécessaires) à 285-3555.
Le courrier peut être ancien ou récent. L’anonymat sera
garanti par contrat. Le courrier doit être de langue fran-
çaise. Les collaborateurs intéressés ont jusqu’au 30 avril
pour communiquer avec Radio-Canada et permettre
ainsi au réalisateur de prendre contact avec eux avant
la mise en ondes des lettres proposées et retenues.
Voici un excellent moyen d’écrire l’histoire du Canada
français d’une façon originale. . . une histoire aux mille
chapitres écrite avec les joies et les émotions quotidien-
nes de tous et chacun, en fait, une histoire au rythme
du coeur.
76
‘redi 28 avril 19
E, mert
RTI
4
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12 / LA LIBE
es Beaux Dimanches
François
le 2, 19 h 30
Une comédie musicale
jeunesse
En première partie des Beaux
Dimanches, le 2 mai à 19 h 30,
les téléspectateurs de Radio-
Canada sont invités à voir Fran-
çois, comédie musicale réalisée
par Gilles Sénécal.
Sur des textes de Réjane
Charpentier, une musique de Gi-
nette Bellavance et une choré-
graphie de Jacques Lemay, 10
comédiens jouent, chantent et
dansent dans cette expérience
télévisée unique en son genre.
François est un génie. Affi-
chant un quotient intellectuel de
282, il a accumulé les diplômes
universitaires: docteur en philo-
sophie, docteur en psychologie,
prix Bonel de biologie. Sa plus
grande découverte consiste à
mettre l'intelligence au service
de tous. Cette possibilité de ni-
veler les capacités intellectuel-
les par le haut comporte un
grand nombre d'implications. Si
tout le monde est intelligent, on
peut utiliser son intelligence à
sa guise: il n'y aura plus d'élite,
füt-elle intellectuelle, politique
ou financière.
François, c'est aussi un rêé-
veur. Nous le découvrons au dé-
but de sa vie d'aduite, entre l'u-
niversité et le monde du travail.
Toutes les possibilités s'offrent
à lui. Les portes s'ouvrent tou-
tes grandes. Et notre héros se
prépare à faire un choix, soit in-
venter une vie unique et tout à
fait personnelle
Isabelle, celle qui aime Fran-
çois, est aussi une jeune étu-
diante britlante. Elle présente
des moues adorables de petite
fille, sans trop comprendre
quelle mouche à piqué son bien-
aimé.
Car Francois n'a qu'une idée:
celle de devenir jardinière d'en-
fants.
Les professeurs de l'univer-
sité, le professeur «Oh» en tête,
ne saisissent pas le sens pro-
fond de ce qu'ils considèrent
comme une lubie. François choi-
sit de les renier au moment mé-
me où ils lui rendent hommage.
C'est entre les murs de la bi-
bliothèque de la faculté de bio-
cybernétique qu'isabelle a choisi
d'avouer à François qu'elle ne
peut le suivre jusqu'à la mater-
nelle. Elle recherche la sécurité
d'une vie académique douillette.
La très riche famille Lafortune
se réunit en grandes pompes au-
tour de cette question épineuse.
Parents, grands-parents et arriè-
re-grands-parents sont tous pré-
sents autour de François, l'héri-
tier.
Tous qualifient d'indigne la
conduite du prodige, ce jeune
génie à qui les portes de la
grande industrie sont grandes
ouvertes.
D'aiileurs, celui-ci se retrouve-
ra au milieu d'un groupe de re-
présentants de la haute finance.
Sur une musique apparentée au
chant grégorien, on assistera a-
lors au ballet merveilleusement
réglé des président, présidente,
secrétaires, secrétaires adjoints
et sous-secrétaires à l'allure mo-
nastique, transportant des docu-
ments et consultant des ta-
bleaux remplis de statistiques
et de courbes. Tous s’agiteront
autour de François, récitant di-
gnement les grands principes de
l'industrie.
Autour d'une table où on joue
à la roulette, c'est la grande scè-
ne de séduction. Parée de bi-
joux hérités de joailliers du siè-
cle dernier, vêtue de satin, ve-
lours, taffetas et parfums dis-
crets. la «jeunesse dorée-» pas-
sera à l'attaque.
Plus loin, le premier ministre
et son chef de police tenteront
par tous les moyens de récupé-
rer ce génie bizarre et d'orien-
ter ses recherches vers un nou-
veau système politique appelé
«manipulocratie»>.
Devant tout cela, François dé-
montre la plus parfaite sérénité,
sautant les obstacles avec le
sourire, sans arrogance. Rec-
teur, président, premier ministre
et parents en demeurent pan-
tois.
Ces 60 minutes faites de
chansons, musique, danse et
jeux dramatiques regroupent pas
moins de 72 rôles. Les 10 co-
médiens., dont la moitié en sont
à leur première expérience té-
lévisée, relèvent le défi avec
talent.
Qui peut répondre parfaite-
ment aux exigences des ama-
teurs les plus méticuleux du
monde du Stéréo?
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71 #
Les Beaux Dimanches (S'il n’y a pas de Hockey}
À
Les Beaux Dimanches
ulture et information
Arsenal
le 2, 20 h 30
L'industrie
des armes
avec Pierre Nadeau
«Cela est triste à dire, mais
dans notre métier, en ter-
mes militaires, nous pouvons
miser beaucoup plus sur la
folie que sur la sagesse des
hommes».
L'auteur de ces paroles s'ap-
pelle Sam Cummings. Cet hom-
me, rendu célèbre grâce à Pa-
ris Match et Playboy, est le
plus grand vendeur d'armes
privé dans le monde occiden-
tal. Originaire des Etats-Unis,
il vit maintenant à Monaco et
possède des établissements en
Virginie, à Singapore et en An-
gleterre.
Ses mots traduisent cynique-
ment son attitude à l'égard de
ses clients. On peut imaginer
sa stratégie de vente.
Ce marchand de canons par-
ticipe à un commerce très lu-
cratif. On évalue à plus de 300
milliards de dollars les dépen-
ses militaires de tous les gou-
vernements du monde pour
l'année 1975. :
Séduits par l'ampleur des
profits retirés du négoce des
armes, les gouvernements con-
trôlent maintenant 95% du mar-
Li
ché militaire. Les belles an-
nées du commerce privé sont
révolues.
Privé ou public, le monde de
la fabrication et de la @&ente
des armes est très difficile à
percer. La discrétion constitue
probablement une des principa-
les caractéristiques du profil
d'emploi d'un marchand d'ar-
mes. Si bien qu'on parle peu
de ces gens qui jouent un rôle
très important dans cette cour-
se mortelle.
Dans le cadre d'une émission
spéciale d'information intitulée
Arsenal, Pierre Nadeau lèvera
un coin du voile sur cette in-
dustrie, probablement l'une des
plus importantes de l'heure.
Réalisé par Jacques Godbout,
ce document «percutant» pren-
dra l'affiche aux Beaux Diman-
ches, le 2 mai à 20 h 30.
Arsenal illustrera ce que nous
connaissons peu où pas du
tout. Par des rencontres, inter-
views, visites d'usine, d'école
d'entraînement et de nombreux
documents d'archives sur !es
armes chimiques, atomiques,
bactériologiques ou classiques,
nous serons entraînés dans les
cozlisses de la guerre, réelle ou
éventuelle, isolée ou mondiale.
Contes de campagne
le 2,21 h 30
(S'il n’y a pas de Hockey)
«Les Quatre Belles»
Le 2 mai à 21 h 30, les Beaux
Dimanches proposent un épiso-
de de la série britannique Con-
tes de campagne.
Cet épisode intitulé /es Qua-
tre Belles nous raconte l'histoi-
re d'un jeune journaliste de pro-
vince ébloui par les quatre plus
jolies femmes de la petite ville
où il réside. Henry s'ennuie pro-
fondément. il n'aime pas son
travail et sa seule véritable dis-
traction, c'est d'aller le soir au
petit café de Mrs. Davenport,
une si belle femme, mère de
trois filles aussi belles qu'elle
et de caractère tout à fait diffé-
rent. D'abord épris de Christa-
bel, merveilleuse blonde de 18
ans, il succombe tour à tour aux
charmes de Sophie, 17 ans, un
peu garçonnière, dont la cheve-
lure flamboyante le rend fou, et
enfin de Tina qui n'a que 14 ans
mais dont la précocité et l'es-
pieglerie l'enchantent.
Henry va très souvent au Ca-
fé. il invite au cinéma ou au bal
les trois filles ensemble ou iso-
lément. Christabel, Sophie et
Tina se payent joyeusement sa
tête et un beau jour, Henry croit
que le monde va s'écrouler
quand il arrive devant le café à
jamais fermé. Mrs. Davenport a
vendu son établissement pour
ouvrir une pâtisserie dans une
autre ville. C'est dans cette ville
que le pauvre Henry échoue à
son tour pour se retrouver, par
hasard, face à la belle Mrs. Da-
venport, mère de trois filles.
Cette nouvelle de HE. Bates,
adaptée par Hugh Leonard et
réalisée par Donald McWhinnie,
est interprétée par Zena Walker,
Michael Kitchen, Veronica Quil-
ligan, Jan Francis et Kate Nelli-
gan
Veronica Quilligan interprète le
rôle de Tina Davenport
Femme d'aujourd'hui
semaine du 3 au 7,13h 35
Quelques-unes
des chroniques
cette semaine
Le mercredi 5 mai à 13 h 35,
Femme d'aujourd'hui présente
aux téléspectateurs de la chaï-
ne française de Radio-Canada
une émission de Fernand Cho-
quette mettant en vedette une
femme commissaire-priseur.
Pour la première fois dans
l'histoire de la célèbre galerie
londonienne Sotheby-Parke-Ber-
net, la plus importante firme de
vente aux enchères du monde
(fondée il y a 232 ans}, une fem-
me sera appelée à diriger cer-
taines ventes. La direction de la
galerie a annoncé dernièrement
la nomination au poste de com-
missaire-priseur de Mile Lebby
Howie, jeune femme de 24 ans
qui a suivi les cours d'histoire
de l'art et d'expertise de la fir-
me.
C'est Yolande Champoux, cor-
respondante à Londres, qui a in-
terviewé Mile Howie. Animatri-
ce de l'émission: Aline Desjar-
dins.
Le vendredi 7 mai, au program-
me de Femme d'aujourd'hui, on
verra ia dernière partie de la
chronique «La Psychologie de
l'enfant de 0 à 6 ans», avec Fran-
çoise Faucher comme interview-
er et Nicole Gilbert-Champagne
comme recherchiste. Egalement:
la chronique «Vivre au présent»,
avec Madeleine Arbour, design-
er d'intérieur, celle du livre, avec
Hélène Roy et, enfin, une chro-
nique sur l'alimentation, avec
Suzanne Leclerc, spécialiste en
art culinaire au ministère de
l'Agriculture du Québec.
Aline Desjardins
00 SESAME
[€ IE 30 LES CONTES DE LA
RIVE k
45 L'EVANGILE EN PA MOUVEMENT
/ PIER > En
10:00 JOUR DU SEIGNEUR 10:00 DU Ù 5 CENTS
1:00 SON ET IMAGES 10:15 A } DIN DE PIER-
30 CINE MAGAZINE
12:00 SEMAINE VERTE 10 0 CONSEIL EXPRESS
3:00 SESAME A 11-00 RECETTES DE JULIET-
D'HIER À DEMAI! AI
SUR 9-30 ROQUET BELLES O- TE
L'UNIVERS DES
REILLES
= = SPORTS 5
LES ESPIEGLES RI 2-00 A\
> _— —— L'HEURE DES QUILLES
l ELOT
LA = LE FRANCOPHONISSI-
LA COMPAGNIE DE LA ME
TTE 3:30 TELEJOURNAL
MOUETTE B SECOND REGARD
SEMAINE : | | LA QUESTION 137$ es D'AUJOUR-
‘ TELEJOURNAL
TI DU SPORT
“ | ROUVELRES Ê L'HUMEUR VAGA-
A é CHRONIQUE DE
BONDE :
FRANCE Comédie avec
LA LEA =
; 19h30 LES BEAUX DIMANCHES
U 3 TION Al François. Comédie musicale de
Réjane Charpentier, mettant en
( BWF | GAL vedette Denis Mercier. François
18 i } Iassé, Gilles Renaud, Jean Bes-
ré. Jean-Louis Millette, Jean-
Jeanne ! a
19-00 LA PETITE PATRIE E e Moreau
NOUVELL | ! ] Pierre Bélanger, Denyse Chartier,
Marie-Michèle Desrosiers, Fran-
LES GRANDS FILMS cine Tougas et Paule Baiilargeon
Le Grand Bazar. Comédie réali- Musique: Ginette Bellavance
sée par Claude Zidi, avec Jean- Danseurs: Renée Hébert
Guy Pechner. Gérard Rinaldi. rad Petterson. Chorégraphie
Jean Sarrus. (Gérard Filpe! ques Lemay. François
Michel Galabru et Michel Ser- génie, affichant un quot
rault. Après avoir perdu leur em- tellectuel de 282: il a à
quatre joyeux lurons se un tas de diplômes universitai
utiles dans leur quartier res. Mais c'est aussi un rêveur
ia conduite du propriétaire 11 n'a qu'une idée: devenir jardi-
café-épicerie Voici que nière d'enfants bien que les portes
l'ouverture d'un super-marché met de la grande industrie lui soient
= en péril l'entreprise de celui-ci ouvertes. Réal: Gilles Senéca
sema ne du Les Chariots se mettent alors en LES BEAUX DIMANCHES
frais de l'appuyer dans sa lutte Arsenal. Documentaire de Pierre
- Nadeau sur le commerce des ar
LA SAGOUIN F :
SAGOUINE mes, aussi bien privé que gou- { HANT DU CY-
vernemental Pierre Nadeau a
ter mai rencontré un producteur et un 3 Drame avec
ouvrier beiges. un chercheur ca-
nadien, le docteur Bull. un ven-
deur français, wn mercenaire
" un photographe de Paris Match, | 22 30 EJOURNAL NATIiO-
au =< - des ouvriers et directeurs d'u-
sine en israë deux Améri-
cains, le plus grand vendeur
1 FTP d'armes privé au mondè, et au 122:50 ) | LLES PROVIN-
L à Re niveau gouvernemental, le géné-
7 mai 45 # - ral Howard Fish, du Pentagone CIALES ET SPORT
F — Réal. Jacques Godbout. , 23h00 FESTIVAL DE MARRAKECH
LES BEAUX DIMANCHES Documentaire réalisé par Marc'O.
2 : Contes de campagne: les Quatre «Tamout- (ire de 2). Des tribus
1976 - Belles. Nouvelle de H. E. Bates, viennent de tous les coins du
i di S adaptée par Hugh Leonard et réa- Maroc, du sud en particulier,
mg den ue - lisée par Donald McWhinnie chantent et dansent pendant une
Mort-. Réal: Jean-Paul Fugère | dizaine de jours (Fr.).
(dernière) . 22h30 TÉLÉJOURNAL 24h00 LAGARDERE
22h45 SPORTS-DIMANCHE Feuilleton de Marcel Julian, d'e-
23h30 CINE-CLUB e É près Paul Féval. Réalisation:
Pr — » Dear John. Drame réalisé pes Jean-Pierre Decourt. Avec Jean
FPT NN 22h30 TELEJOURNAL Lars Magnus Lin en vec Jar Piat, Sacha Pitoëff, Marco Perrin,
» 22h45 NOUVELLES DU SPORT Kuille et Christ cholli Le Jacques Dufilho, Jean-Michel
Rh 23h00 bateau de John entre au port Dhernay et Nadine Alari. 5e
Er ience-fic- pour effectuer un chargement de épisode: Démasqué, le prince de
tion réalisé par Robert Stevens. sable. Dans un café, John ren- Gonzague s'enfuit en Espagne
LL D 244 Raymond St-Jacques, Su contre une serveuse, mère céli- avec Aurore, Flor et Peyrolle.
LA À 4 an Janet MacLachian et bataire d'une petite fille. 1! lui Lagardère, Chaverny et leurs a-
2 e l
fait la cour, elle refuse ses
sujet avances, puis accepte de sortir
du cerveau avec lui le lendemain (Suédois
64).
mis sont sur leurs traces. Pey-
rolle soudoie Perez le Navarrais
pour qu'il monte un guet-apens
dans le défilé de Poncardo.
MERCREDI VENDREDI
5 mai 7 mai
9:15 LES ORALIENS
9:30 100 TOURS DE CEN-
TOUR
9:45 EN MOUVEMENT
0:00 YOU HOU
10:15 MINUTE MOUMOUTE
10:30 CONSEIL EXPRESS 9-15 LES ORALIENS
11:00 RECETTES DE JULIET- | g:30 LES 100 TOURS DE
15 LES ORALIENS TE CENTOUR D
JTJ FE IN U
9:30 100 TOURS DE CEN 11:30 LA GRANDE AVENTURE | 9:45 EN MOUVEMENT 9-30 LES 100 TOURS DE
TOUR dormait tes"! H0:09 ÉA BOITE A LEFTRES FE 483
45 EN MOUVEMENT as 10-15 MINUTE MOUMOUTE Es
FAUVES Es ss 9:45 EN MOUVEMENT
c * UKIS 2 HE ait ; PR. : ! 3 J è 1 U CW 0
00 LES CHIBOUKIS 2-30 LES COQUELUCHES 10:30 CONSEIL EXPRESS Re
15 MINUTE MOUMOUTE S RE ; % 11-00 RECETTES DE JULIET- cs :
3:30 LE TELEJOURNAL É rs M ons Gin
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Rare de 13:35 FEMME D'AUJOUR- [11:30 HISTOIRES SANS PA- 10:30 CONSEIL EXPRESS
00 RECETTES DE JULIET re 00 ÊQLES, sers
ce D'HU 12:01 11:00 ETTES DE JULIET
14:30 IMAGES DU-CANADA 2:00 SKI 11:00 RECETTES DE JULIE
14:30 CINEMA 12:30 LES COQUELUCHES TE
00 LES ENFANTS DE
CHASSEURS CRIS DE 13-30 LE TELEJOURNAL 11:30 LES ANIMAUX CHE
L'ARCHIPEL MISTASSINI'". D 3 F D'AUJOUR E
12:30 LES COQUELUCHES pe ; cite 3 Fees EUX
SE PESt D'HUI
“ | entaire
13 30 TELEJOURNAL 0 BOBINO 14 30 CINEMA
35-FEMME D'AU- FT ‘POLICE MONTEE AU
RE HU! 7-00 LA VIE EN MOUVE- COMBAT’. Western
30 CINEMA MENT (Nébut avec Robert Stevens
‘*LAUREL ET HARDY ee
8:00 CE SOIR 16:00 BOBINO 14-30 CINEMA
TET E PIOCHES x é
+ oder so 18:30 CE SOIR AU MANITOBA |16:30 LE GUTENBERG
LE DESERT DE FE
me est mis en branle (Fr. 69).
BOBINO 17:00 LASSIE >
LE GRENIER du parc Jarry, les
San Diego visitent les 1 1/:30 MONDE EN LiBERTE ei
DANIEL BOONE Montréa mmenta- = ;
3 — . 18:00 CE SOIR 6-30 LA RIBO DINGUE
€ n. Analyste: Jean- 8:00 CE 16:30 A RIB LL GU
CE SOIR Pier roy. Recherches et statis _ RÉRES TE
tiques: Pierre Murphy Réal. [18:30 CE SOIR AU MANITOBA Ra Las
CE SOIR AU fichel Quidoz 17:00 DA
ASE A RTET AE 19:00 LA SOIREE DU HOCKEY Re
TOBA En cas de pluie: = Commenta- 8:00 CE SOIR
CINE-SOLEIL » teurs: René Lecavalier, Richard x Fe SAR x À
SOIREE DU HOCKEY Les 55 Jours de Pékin. Drame Garneau et Lionel Duval. Analys- 18:30 CE SOIR AU -
réalisé par N cholas Ray, avec te: Gilles Tremblay. Réal: Mi- TO8A
Les demi-finales Charit E== Ava Faye et chel Quidoz et Jacques Primeau. 5 A
[e > n 1900, les Boxers
’ y ui asser > tes 121:30 LE ROBINSON SUISSE | = ES
GENIES EN HERBE & pre reed ee Es Acec Chris Wiggins. Diana Le- 19:00 SCIENCE REALITE
L = " ape DS blanc, Michael Duhig, Heater É cee
‘*ST-JEAN-BAPTISTE Ù e, ils . ds Gran et Micky O'Neill Réal - 19:30 MARCUS WELBY |
qu nternationai ve ekin ste = me
= : 1 Don Haldane. + Re RE En “ent —
vs PETIT SEMINAI & : 20:30 PRIX LOUIS-PHILIPPE 1-
ou 22:00 LE TRAVAIL A LA CHAI- (=>)
00 MANITOBA 76 Sur un pas ere) roue dE KAMMANS UNE PLA- —
£ k La ea > par erge orner, avec —
30 TELEJOURNAL Funès, Géraldine Cha- Animateur: Serge Laprade, avec CE FORTE =
: er de Funès et Pau la collaboration de Jacques Hou- RER TES AA =
NAL de. Scripteur et recherchiste: Mi- 22:30 TELEJOURNAL FR
21h30 LE 60 che! Dudragne. Réal.: Lisette Le- = HV | NAIIA F3
22:50 NOUVELLES PROVIN Royer. 22:45 NOUVELLES PROVIN- Lu
22:30TELEJOURNAL É r PORTS TT
CIALES ET SPORTS RER 22430 TÉLÉJOURNAL CIALES & SPORTS Fe
99-44 N = E =
23h00 RENCONTRES 22:45 NOUVELLES PROVIN 22 AS NOM ELÉES PRONANE L D =
Invité: Marcel! Jouhandeau, écri CIALES ET SPORTS Se Le re =
vain, 88 ans. 1! évoque son exis- CIALES ET SPORTS RS Elizabeth: =
rer DRE dun dre Séroal 23:00 CONSOMMATEURS 23h0ü CINÉMA € et Jeremy Siate U t=
interviewer: Marcel Brisebois AVERTIS Une fille libre. Drame réalisé téran de la FLE En
Réal.: Raymond Beaugrand-Cham par Claude Pierson, avec Chris- est amené à affron u >
pagne 23h00 CINEMA CANADIEN e tine Davray, Juliette Vilard, Ro- de de motards violents =
’ Noël et Juliette. Drame réalisé ger Hanin et Bernard Verley. Une solents. 11 vient en ==
23h30 LES GRANDES BATAILLES e nee > c i ( € DES e ES
| net) “mas =
: n telle > uchard, ti c t , q 1 s bres du nl
PE. 4 cage rer ee se “se Micheline Lanctôt. Noël est un libre. Elle connaît diverses aven- qui est appelée à témo 57
E- ee se +3 és lus Soux deg Re ee hp ta suit en me, peintre E Er Rp PE ; se 5
formidable débarquement militaj- ee ET Tr Tac PET RE Er tn CR te tottrcent de io: AR
re des temps. Le glas du nazis une jeune désespérée, Ju!i Û pourtant elle se refuse (Fr.-it.- police et s'effor t de ti >
qu'il ramène vivre avec lui (73) can. 70). mider (USA 67).
CONCOURS CULTURELS
“S'UNIR POUR GRANDIR"
Ohé!
Faites couler la sève de votre imagination!,
Le comité du Centenaire vous appelle à l'action, Voici
la chance pour vous de participer à trois concours.
Ohé! Entaillez vos idées et vos crayons!
Les concours s'étendront à partir de maintenant et ce
jusqu'au 30 juin 1976, Les participants ne devront sou-
mettre qu'un seul poème en vers libres où réguliers,
De préférence, les textes des chansons et poèmes de-
vront être dactylographiés, Les textes devront être si-
gnés d'un pseudonyme et accompagnés d'une envelop-
pe cachetée contenant le nom véritable et l'adresse de
l'auteur,
Pour la catégorie des jeunes, les textes seront recueil-
lis par les professeurs, Pour les adultes, ils devront
être remis où envoyés à: Mme Paul Comeault et M.
Armand Sabourin,
Les concours seront jugés par un jury constitué de
personnes désignées par le comité du Centenaire, Les
gagnants des concours recevront des trophées pla-
qués du Centenaire de Saint-Jean-Baptiste, Les textes
retenus seront publiés dans l'album souvenir, Le jury
se gardera le privilège de décerner des mentions hono-
rables aux auteurs d'autres textes jugés dignes d'inté-
rêt.
Le Comité du Centenaire se réserve le droit de publier
à toute fin les textes intégralement (sans en changer
la copie originale).
*N.B.: Il est bien entendu que le tout devra être rédigé
en français!
En pleine forme, on fait tout.
CONCOURS
Chanson-Thème (devra être inspirée du thème “S'unir
pour grandir’).
Catégories:
À - Pour adultes.
B - Pour jeunes: niveau élémentaire, 2e cycle - 4-6e
‘années,
iniveau collégial - 7-12e années.
Chanson Populaire (formule et thème à votre choix).
Catégories:
A - Pour adultes.
B - Pour jeunes: niveau élémentaire, 2e cyclv - 4-6e
années.
niveau collégial - 7-12e années.
Poème (devra être inspiré du thème: “S'unir pour gran-
dir”,
Catégories:
À - Pour adultes.
B - Pour jeunes: niveau élémentaire, 2e cycle - 4-6e
années,
niveau collégial - 7-12e années,
O
La Chambre de Com- qui réussissait à fournir
merce tint sa réunion an- de l'emploi à 10 jeunes
nuelle le 23 mars 1976. filles l'été dernier. Nous
Ce fut une réunion d'in- avons obtenu du gouver-
formation sur le travail nement une couverture
accompli par chaque or- d'asphalte pour le chemin
ganisation de la paroisse. d'entrée au village. Nous
Saint-Jean-Baptiste
ponsabilité du concours
de barbes ainsi que de la
soirée vin et fromage, Nos
cartes de membres sont
vendues par les Scouts
à qui nous accordons une
commission, ce qui leur
permet de recueillir des
fonds pour leurs troupes,
Le rapport financier
présenté par le secrétai-
re-trésorier, M. Jean-Guy
Hurtubise, fut adopté par
l'assemblée; la Chambre
ne dispose pas de som-
mes énormes, mais peut
fonctionner agréable-
ment,
Voici maintenant les
rapports des différentes
organisations,
La L.F.C. (par Stella
Beaudette) — On compte
53 membres et on tint 8
réunions, On fit cadeau
de lampe sur pled au
Centre médical, puis on a
fourni aide financière aux
Scouts et aux Guides, aux
missionnaires (bazar) et
au Petit Séminaire, Deux
de nos membres nous re-
présentent sur l'exécutif
de la Chambre de Com-
merce, Nous préparons et
servons les réceptions a-
près les funérailles, et
présentons un cadeau-
souvenir aux membres qui
nous quittent pour raison
de déménagement, Nous
avons offert à nos mem-
bres une conférence sur le
rôle de la femme dans
l'Eglise, avons eu une
soirée sociale où les ma-
ris ont été invités, et
avons assisté au Congrès
diocésain à Saint-Nor-
bert.
(suite, page 16)
LES RÉGIONS
NOUS ATTENDONS DE VOS NOUVELLES
Les gens des Régions aiment trouver des nou-
velles de chez eux dans leur journal, Nous invi-
tons toutes les personnes qui peuvent nous
communiquer de telles nouvelles, des chroni-
ques sur ce qui se passe dans leur patelin, à
nous les écrire. Les photos sont bienvenues ;
il faut dire, ici, que les photos en couleurs se
reproduisent mal dans le journal et que celles
en noir et blanc sont de beaucoup préférables.
Nous attendons de vos nouvelles,
Sainte-Agathe
ans. || y aura de la soupe
aux pois, du café, des ra-
fraïchissements, Venez
vous régaler tout en féêtant
notre Centenaire.
Il y aura grand specta-
cle genre boîte à chan-
sons à Sainte-Agathe, le 2
mai, à 8 heures p.m, dé-
dié à toutes les mamans.
Il y aura chants, poèmes,
musique pour tous, par
des participants de 6 à 85
Richard Dorge, président
du comité du Centenaire
LelionentreprendIla cigale
Propos passionnés sur le Certificat
de dépôt à bord du La Fontaine
Express de la Banque de Montréal
Alors que le La Fontaine Express
d'intérêt.” Les yeux de la cigale
M. le président, Georges
Dionne, souhaite la bien-
venue et donne un comp-
te rendu des activités de
la Chambre. || y eut onze
réunions régulières et
deux spéciales. Les acti-
vités sportives ont été
inscrites dans le bulletin
du TCAM (Association
Manitobaine du Touris-
me et des Conventions).
Il y eut rencontre avec M.
Rempel du Bureau de la
Main-d'oeuvre du Canada
avons fait installer les en-
seignes du parc et du
quai, et nous avons ache-
té un nouveau drapeau
pour le village. Nous a-
vons fait don à l'école de
80 brochures “Connaître
son gouvernement”. Nous
avons donné une récep-
tion, avec rafrafchisse-
ments et souvenirs, aux
participants du cycloton
de Saint-Joseph. Notre
participation au Carnaval
consista à prendre la res-
HADASSAH — GALERIE D'AUBAINES
Un grand bazar se tiendra au Centre des Congrès
de Winnipeg, mardi le 4 mai prochain, sous les
auspices de Hadassah. Les portes seront
ouvertes dès 10 heures du matin et ce jusqu’à
22 heures. Il y aura des aubaines pour tous les
goûts: vêtements, plantes vertes, pâtisseries,
etc. Pour vous restaurer, de simples goûters et
des
repas complets seront
servis au Café
Hadassah. Un tirage totalisant une somme de
$2,500. de prix viendra clore la journée.
de la Banque de Montréal pour-
suivait sa route vers une autre
succursale de la Banque, le lion
décida d'entreprendre la cigale
qu'il juge encore un peu trop
frivole. Pendant ce temps le con-
ducteur et les autres passagers,
ces célèbres personnages des
fameuses fables, vaquaient à
leurs occupations coutumières
discutant et se taquinant les
uns les autres.
9%%* Certificat de dépôt
"Ma chère cigale, dit le lion,
je ne voudrais jamais que l'on
dise de vous:—sois belle et tais-
toi. En conséquence, je vou-
drais vous intéresser à un place-
ment qui rapporte un gros 94%
se mirent à pétiller. "Majesté,
dit-elle, expliquez-moi, de quoi
s'agit-il, car plus j'aurai d'argent,
plus je pourrai en jouir.
Madame, soyons pratique,
sérieux et prudent, pensons à
demain, reprit le lion, car nous
abordons un sujet grave qui a
trait à votre sécurité: le Cer-
tificat de dépôt.” ‘Ne me faites
plus languir, sire, supplia la
cigale.” ‘Hé bien voici notre
affaire, ma chère, proclama le
lion. Les intérêts sont payés deux
fois par année. Et, le terme
minimum est de seulement un
an alors que les dépôts minima
et maxima sont de $5 000 et
$100 000. Bien que vous puis-
siez vendre en tout temps, le
certificat n'est remboursable
qu'à maturité. Bien sûr, les
intérêts peuvent être investis de
nouveau à 8%* dans un Compte
d'épargne véritable. De plus,
fait intéressant, des fonds sont
acceptés pour des périodes de
six mois à un an et pour des
périodes de deux à cinq ans à
94%". "Mon cher lion, vous
parlez comme un grand livre,
répliqua la cigale qui ne voulait
pas s'en laisser imposer, mais si
l'on dépose au-dessus de
$100 000 combien ça apporte?"
"Petite coquette va, conclua le :
lion, renseignez-vous sur ce
Service Médaille d'Or à la
Banque de Montréal même
* Les taux d'intérêt sont sujets à changement sans préavis.
Quest-ce qu'on peut taire pour VOUS !
La Première Banque Canadienne
Banque de Montréal
LA LIBERTE, mercredi 28 avril 1976 / 15
LES RÉGIONS
Lorette
MATERNELLE
Le 28 avril aura lieu
l'inscription formelle de
tous les enfants qui ont
ou qui atteindront le bel
âge de 5 ans avant le 31
décembre 1976, A ce
temps-là le parent devra
produire la preuve d'âge
de l'enfant: soit son certi-
ficat de naissance, soit
son certificat de bapté-
me,
L'enfant et le parent
auront une entrevue avec
le professeur, Mlle Val-
court, et avec la garde-
malade de l'Unité Sani-
taire, Mme Page. Vous
serez contacté par télé-
phone ou par lettre pour
vous laisser savoir l'heure
de votre rencontre.
Un jeune garçon de 15
ans (grade X), de bonne
famille aimerait corres-
pondre avec un garçon où
une fille du Manitoba, de
préférence en français.
Son adresse est la suivan-
te: Sylvain Giard, 2209,
rue Lemay, Saint-Hyacin-
the, P, Qué., - Code:
J2S 4A3,.
Sincères condoléances
à Mme Almanzor Manai-
gre et à sa famille à la
suite du décès de M. Al-
manzor Manaigre, époux
et père, âgé de 77 ans.
Il mourut le lundi 19 avril
dernier, à l'hôpital de
Sainte-Anne, après une
longue maladie acceptée
avec patience et garda
toujours sa bonne humeur
et réservait un accueil
chaleureux à tous ses
visiteurs. Il est né à Loret-
te et y est demeuré toute
sa vie.
Nous souhaitons un
prompt rétablissement à
nos chers malades: Mme
Henri Bissonnette et M.
Lucien Johnson, hospita-
lisés à l'hôpital général
de Saint-Boniface.
La supérieure des
Soeurs de Saint-Joseph
de Saint-Hyacinthe, du
couvent de Lorette, nous
a quittés pour aller pren-
dre un repos bien mérité à
leur maison mère de
Saint-Hyacinthe. Elle
était la supérieure du cou-
vent depuis six ans. Nous
lui souhaitons un prompt
rétablissement et un heu-
reux retour parmi nous où
elle s'est fait de nombreu-
ses amies et où elle sem-
blait se plaire beaucoup.
Nous la remercions de
ses précieux services en-
tre autres vis-à-vis la Li-
gue, les malades, etc.
Son passage à Lorette
nous a laissé un souvenir
mémorable, Témoignons-
lui notre reconnaissance
par nos prières.
VENTE!
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Powerview
M. et Mme Paul Alarie
et Denise sont revenus
d'un voyage de deux se-
maines pendant lequel ils
visitèrent pendant quel-
ques jours des cousins;
de là ils se rendirent à
Saco, Montana, avec une
cousine de Mme Alarie,
Cécile Wright; visitèrent
“Hot Springs’ et jouirent
de pouvoir se baigner aus-
si souvent qu'ils le dési-
raient, C'était change-
ment de température d'a-
vec celle de la tempête
du Manitoba quelques
jours avant leur départ,
Ils ont magasiné à Malta,
regrettant de ne pouvoir
traverser plus de mar-
chandises qui sont meil-
leur marché aux Etats.
Au retour ils passèrent à
Elie visiter les parents
de Paul, puis firent de
courtes visites avec leur
fille, Soeur Pauline, leur
fils Maurice et son épou-
se, puis se rendirent célé-
brer la fête de leur fille
Cécile Skene, à Saint-Vi-
tal, IIS ont beaucoup joui
de leur premier voyage
avec leur nouveau ‘cam-
per” et s'en promettent
plusieurs autres plus tard.
Nous souhaitons un
complet rétablissement à
Lucien Dupont qui après
un congé “forcé” de six
semaines pendant lequel
il s'est amusé avec des
béquilles, il est revenu au
travail tout en boftant un
peu,
Les mêmes souhaits
vont à Clifford Houston
qui a été hospitalisé et
subit une opération à un
genou et maintenant mar-
che avec des béquilles:
ces deux cas résultat
d'accidents survenus au
travail.
.
Les exercices religieux
de la Semaine Sainte fu-
rent très bien suivis mal:
gré la température inclé-
mente des derniers jours.
Quinze enfants ont fait
leur première commu-
nion: Joël Lamoureux,
Denis Laroche, Guy Cyr,
Andréa Palamer, Dale
Berthelette, René Saint-
Pierre, Michel Curé, Ron-
ny Popiel, Marc McHugph,
Clifford Houston, Shan-
non Berthelette, Shelly
Lavoie, Joey Bonekamp,
Kathy Clarke et Wayne
Houston.
M. et Mme Arthur Bruce
sont allés passer le jour
de Pâques à Winnipeg,
avec leur fille, Sheila.
Mme Gertrude Strouken,
une anciénne de Power-
view, est venue visiter
ses anciens voisins et
amis.
Gilles Lafrenière, de la
Police Montée, est en
congé de deux semaines
chez ses parents.
Mme Armand Désilets
La Broquerie
Le 7 avril un incendie
éclata dans un hangar
situé à quelques pieds
seulement de l'école élé-
mentaire. Cette bâtisse
servait à abriter la ma-
chinerie et les outils né-
cessaires à l'entretien de
l'école et aussi quelques
barils d'huile.
Quelques hommes
étaient à réparer le toit
de l'école, lorsque le feu
éclata, détruisant en en-
tier la remise et endom-
mageant le mur et le toit
de l'école. Grâce au tra-
vail des pompiers de
Steinbach et de Sainte-
Anne, le feu a pu être
maîtrisé et l'école fut
épargnée.
Le 10 avril la demeure
de M. Jacques Mireaylt
fut la proie des flammes
COMMUNAUTES DE SAINT-BONIFACE ET DE SAINT-VITAL
SERVICE DES PARCS ET DES LOISIRS
PISCINE INTÉRIEURE BONIVITAL
1215, rue Archibald, angle Cottonwood
LECONS DE NATATION
On peut maintenant s'inscrire à la piscine Bonivital selon une formule souple.
À RETENIR
séa nce seulement.
Vous pouvez vous inscrire, à n'importe quel moment, pour une
Vous ne pouvez pas vous inscrire si vous participez présentement à des
leçons de natation, avant la fin de la session.
Vous devez vous inscrire en personne.
Vous pouvez vous inscrire pour l'été ou pour l’automne.
JOURS ET HEURES D'INSCRIPTION
Tous les jours, entre 9h00 a.m. et 6h00 p.m.
Les lundi, mardi et jeudi soir, jusqu’à 9h00.
NOTER :
Des cours de canotage seront offerts cet été aux adultes et aux en-
fants, au lac Southdale, Renseignements : 257-3805.
16 / LA LIBERTE mercredi 28 avril 1976
et ce fut une perte pres-
que totale. C'est la deux-
ième fois que M. Mireault
est éprouvé par le feu.
PARTIE DE CARTES
Le 11 avril à l'école élé-
mentaire, il y eut une par-
tie de cartes et de bingo
organisée par les Scouts,
Guides et Louveteaux.
L'assistance fut assez
nombreuse et de très
beaux prix furent distri-
bués. Félicitations aux
heureux gagnants.
Le 15 avril c'était le 99e
anniversaire de naissance
du plus âgé citoyen de La
Broquerie, M. Pierre Lara-
mée. Malheureusement il
est hospitalisé à Saint-
Boniface depuis quelques
mois après s'être fracturé
une jambe. Ce brave pion-
nier semble se rétablir
tranquillement. Nous lui
souhaitons donc une heu-
reuse fête et une bonne
santé. Peut-être sera-t-il
un centenaire, qui sait?
VOYAGES
M. et Mme Hector Nor-
mandeau sont revenus
très enchantés d'un voya-
ge à Hawaii.
M. et Mme Aimé Viel-
faure, ainsi que M. et
Mme Gérard Tétreault,
sont partis pour un VOya-
ge en Europe et se ren-
dront aussi en Afrique
pour visiter le père Louis
Vielfaure, missionnaire
Père Blanc, frère de M.
Aimé Vielfaure. Nous leur
souhaitons un bon voyage
et un heureux retour.
M. et Mme Raoul Viel-
faure sont aussi allés faire
un voyage en Europe où
ils visiteront surtout la
France, pays des ancêtres
des Vielfaures. Bon voya-
ge à eux aussi.
Saint-Adolphe
Le Comité culturel de
Saint-Adolphe annonce
que leur assemblée an-
nuelle aura lieu le lundi
10 mai à 8h p.m. en la
salle de l'église, C'est une
assemblée très importan-
te, car le Comité se de-
mande si ses services ré-
pondent aux besoins réels
de Saint-Adolphe.
Durant l'année 1975-76,
le Comité, composé de
six personnes, a montré
2 films, a organisé 2 cours
de Conversation française
pour les anglophones et
un cours Participe-Action
pour les femmes, a tenu
une semaine de chansons
françaises dont les dis-
ques furent remis à l'éco-
le, a invité le Voyageur
Prenovault à l'école, a
lancé une Soirée Cana-
dienne et a mis sur pled
un cours de danse pour
les enfants de 5 à 13 ans,
Le Comité entrevoit
possiblement des ses-
sions d'information sur
les testaments, les im-
pôts, les budgets fami-
liaux et les droits légaux
de la femme; d'autres
Soirées récréatives et cer-
tains cours considérés
d'intérêt général.
Le Comité a besoin de
vos critiques, VOS oOplI-
nions et vos suggestions,
Il est à votre service et
vous attend le 10 mai avec
anxiété,
Le Comité culturel
de Saint-Adolphe
Saint-Jean-Baptiste (suite)
Corporation de dévelop-
pement (par Donat Tou-
chette) — Cette organisa-
tion fut fondée en novem-
bre 1971 avec le but d'ai-
der à développer notre
village. Par vente de
parts, nous disposons de
fonds qui nous permet-
tent de pouvoir effectuer
du développement de ser-
vice ou de commerce.
Club 4-H (par Mme
Annette Sabourin) — Le
Club compte 40 membres,
qui est une baisse consi-
dérable mais attribuée à
l'établissement des mou-
vements Scouts et Gui-
des. La candidate que
nous présentions au Car-
naval, Lynne Marion, fut
élue Reine du Carnaval.
Notre motto est: ‘“Ap-
prendre par l'épreuve”.
La Brigade des Pom-
piers (par Denis Dupas)
— Nous sommes seize
pompiers volontaires.
Subventionnée par la Mu-
nicipalité, la Brigade s'est
procuré un camions
Bingo (par Roland Val-
court) — En 1975, il y eut
24 soirées de bingo. Nous
avons donné $4,500.00 au
Centre Récréatif et nous
avons en caisse une ba-
lance de $1,212.00.
Club des Pionniers (par
Philippe Desautels) —
Nous sommes mainte-
nant déménagés dans no-
tre nouveau local qui est
adjoint à la salle du Cen-
tenaire , nous y sommes
le mardi (bingo!), le mer-
credi (carpet bowiing) et
le jeudi (bingo et jeux de
cartes).
Scouts (par Marcel Ma-
rion) — Nous avons 27
garçons scouts, dont 5
patrouilles. Nous jouis-
sons d'un beau support
de la part des parents.
Guides (par Jeannette
Tessier) — L'inauguration
du mouvement Guide eut
lieu le 6 novembre 1975,
Nous avons 15 aspirantes
et sommes heureuses
d'être installées dans un
nouveau local au sous-
sol de l'église,
Croix-Rouge (par Mme
Berthe Touzin) — M.
Stanley Fraser est le pré-
sident du district no 4 du-
quel nous faisons partie.
Nous avons recueilli $745.
en dons en 1975. La cli-
nique de sang en novem-
bre attira 165 donneurs
de sang. Grands mercis!
Centre Récréatif (par
Albert Saint-Hilaire) —
Le développement du parc
s'effectue graduellement.
PROVINCE DU MANITOBA
THE CLEAN ENVIRONMENT COMMISSION
AVIS est par les présentes donné qu'en vertu des dis-
positions du Clean Environment Act, The Clean Envi-
ronment Commission recevra les demandes de restric-
tions de décharge où d'émission de contaminants dans
l'environnement résultant des opérations suivantes et
prescrira les rectrictions jugées nécessaires par la
Commission:
Municipalité rurale de Taché
C-b-1245
relatives à un programme de contrôle de l'action de
chenilles par
vaporisation
de Dimethoate et de
Malathion, du 15 mai 1976 au 31 août 1976, sur tout le
territoire de la Municipalité rurale de Taché.
Toute personne qu'affecte ou qui pourrait être affectée
par une Décision de la Commission et qui désire faire
des représentations en faveur ou contre telle Décision
peut, pas plus tard que le 30 avril 1976, faire part de son
intention à la Commission, à Casier 4, 139, avenue
Tuxedo, Winnipeg, R3N OH6. Téléphone: 489-4511,
postes 180, 188 ou 192. On peut obtenir plus de rensei-
gnements, y compris une copie de la demande faite à
la Commission et tous autres détails disponibles en
s'adressant à la Commission à l'adresse indiquée plus
haut.
Lorsque la Commission reçoit une représentation rela-
tive à l'une des opérations décrites plus haut, elle peut
tenir des séances publiques sur le sujet avant de pres-
crire des restrictions et dans ce cas avisera le requé-
rant ou la personne soumettant une représentation, de
la date, du lieu et de l'endroit de l'audition,
En 1974, le gouvernement provin-
Clal créait au sein du Ministère de
l'Education un Bureau de l'Education
Française, chargé de promouvoir, de
planifier, mettre en application, et
administrer les programmes et servi-
ces ayant trait à l'éducation dans la
langue officielle de la minorité, de
prêter son concours aux divisions
scolaires dans le but de déterminer
les besoins éducatifs par rapport à
l'intérêt et l'héritage culturels, d'ad-
ministrer tout programme de support
fédéral venant du Secrétariat d'Etat
en relation avec la promotion du bilin-
guisme en éducation,
Après une longue lutte, nous, les
Franco-Manitobains, voyions donc
mis à notre disposition des outils pou-
vant nous permettre d'assurer la survie
et l'épanouissement de notre langue et
de notre culture,
Mais l'évolution sociologique paral-
lèle à l'acquisition de ces outils fut
telle qu'elle rendit difficile l'utilisation
de ceux-ci,
Car parallèlement à la progression du
Statut juridique de la langue françai-
se dans la province, l'accentuation des
facteurs d'assimilation, l'épuisement
de notre leadership, la fin de notre
unité, nous ont un peu mis dans la si-
tuation d'infirmes en chaises roulan-
tes qui disposeraient d'une autoroute
pour circuler.
Nous avons les outils qu'il nous faut.
Mais saurons-nous nous en servir?
Pourrons-nous nous en servir?
* *X *
La Loi 113 et le Bureau de l'Education
Française ne sont que des moyens
juridiques mis à la disposition des
Franco-Manitobains. Ce sont des
moyens de choix, mais ils risquent
très vite de ne devenir que des jou-
joux de luxe. En effet, en dépit de leur
existence, en dépit de la chance qui
nous est donñée de faire de nos en-
fants de véritables personnes bilin-
gues c'est-à-dire des êtres français
fonctionnant adéquatement dans une
seconde langue — l'anglais —, nous
continuons à nous assimiler à un taux
qui n'a fait que s'accélérer au fur et à
mesure que le “fait français” était offi-
ciellement reconnu par les législateurs
de notre province.
QUELQUES CHIFFRES POUR
FAIRE PENSER
Il y eut pendant près d'un siècle une
stabilité remarquable dans le pourcen-
tage relatif de francophones et d'an-
glophones au Canada. Le fait que la
plupart des nouveaux arrivants au
Canada choisissaient la langue an-
glaise était neutralisé par la grande
fertilité du groupe canadien-français,
Cet équilibre est rompu maintenant
depuis près de vingt ans. De 1961 à
1971, les Franco-Manitobains sont
passés de 83,936 à 86,515, alors que
de 1951 à 1961 leur nombre avait
augmenté de plus de 15,000. Le fait
que les familles francophones soient
aujourd'hui moins nombreuses n'est
pas le facteur le plus grave.
Selon le recensement de 1971, les
quatre provinces de l'Ouest comptent
333,930 Canadiens d'origine françai-
se. Seulement 89,735 d'entre eux, un
peu plus du quart, continuent de par-
ier le français au foyer. Au Manitoba,
il y a 86,510 Canadiens-Français.
Seuls 39,600 d'entre eux parlent
encore le français chez eux, soit
moins de la moitié.
En trente ans, le pourcentage des
Franco-Manitobains à ne savoir que
l'anglais a presque triplé, passant de
12% en 1941 à 33% en 1971. Les Fran-
co-Manitobains sont proportionnelle-
ment moins bilingues en 1971 qu'ils
ne l'étaient en 1941, et cela non parce
qu'ils ignorent davantage l'anglais,
mais bien PARCE QUE 33% D'ENTRE
EUX NE SAVENT PLUS LE FRAN-
ÇAIS.
D'hier à aujourd’hui (suite)
La contribution des Franco-Manito-
bains est plus importante à la langue
anglaise qu'à la langue française, L'a-
doption de l'anglais par ces Canadiens
français suit, en dépit des lois favora-
bles à l'enseignement français, plus
ou moins une progression géométri-
que, || est plus que probable que sl
tout continue à ce rythme, en l'an
2000, l'immense majorité des Cana-
diens-Français non québecois aura été
anglicisée, Les francophones non
québecois ne représenteront plus
alors que 5% de l'ensemble des Cana-
diens-Français. Leur pourcentage est
aujourd'hui de 16%
POURQUOI ???
UN CONTEXTE DIFFERENT
Les causes de ce taux d'assimilation
qui va en s'accélérant sont multiples.
La principale en est l'exode rural, une
urbanisation qui a entraîné la désin-
tégration de la structure paroissiale
des communautés francophones, la
dispersion du groupe, et donc son
assimilation par la majorité. Dans le
passé, aller en ville était un événe-
ment. Aujourd'hui tout a changé.
Même si tous les francophones n'ha-
bitent pas en ville, bon nombre y tra-
vaillent ou s'y retrouvent très souvent.
En 1964, le Père Richard Arès pouvait
déclarer: “Si le français a survécu
jusqu'ici au Manitoba, c'est parce que
le peuple franco-manitobain avait su
et avait pu faire de son propre milieu
ethnique un milieu vital, un milieu qui
lui suffisait en grande partie, et au
sein duquel il vivait replié sur lui-
même.”
En d'autres termes, le peuple franco-
manitobain avait ses flots de langue
et dé culture française, marginaux,
presque étrangers, indépendants du
monde extérieur anglophone. || avait
un chez soi où il pouvait vivre sa
condition de francophone. Il parlait
français chez l'épicier, toutes ses acti-
vités paroissiales et communautaires
se déroulaient en français. Il contrô-
lait son école paroissiale qui n'était
pas incorporée à de grandes divisions
scolaires souvent à majorité anglaise.
Aujourd'hui, tout a changé. Les jeunes
se socialisent de plus en plus en de-
hors du groupe familial communau-
taire. Avant l'ère industrielle, la com-
munauté était l'horizon socio-culturel.
Les jeunes n'étaient pas obligés d'aller
en ville à la recherche de loisirs. Le
loisir communautaire était la règle.
Avant l'envahissement de la maison et
de la communauté par les média an-
glophones, les parents et aïnés étaient
les agents socialisateurs, et le fran-
çais vivait dans cette maison ou cette
communauté. La télévision, la radio et
les journaux anglophones sont au-
jourd'hui entrés dans cette maison
pour faire concurrence à son ambian-
ce française. [Is ont amené avec eux
un mode de vie jusqu'alors étranger
au village: films américains, chan-
sons anglophones, vedettes anglo-
phones, publicités en anglais pour
des objets à l'attrait desquels il de-
vint difficile de résister. Le Big Mac
a remplacé la tourtière.
Aujourd'hui, les média anglophones
SONT donc devenus les agents socia-
lisateurs et la société anglophone, le
modéle socialisant. La parenté et la
famille ont perdu cette fonction socia-
lisante qui a permis au groupe franco-
phone de se maintenir comme entité
linguistico-culturelle. L'école mixte ne
les a sûrement pas remplacés. Les
flots de langue et de culture française
ont disparu.
LA FIN DE L'UNITÉ
L'urbanisation et la dispersion du
groupe ne sont pas les seules causes
de cette assimilation. L'unamité idéo-
logique de toutes les forces franco-
manitobaines, unanimité qui avait été
la clef de la survivance lorsque les
lois étaient hostiles, a disparu. La
grande diffusion du Free Press et du
Tribune a en effet mis fin à l'efficacité
de La Liberté qui tenait lieu dans le
passé de seul agent d'information
pour les francophones,
Un débat a fait des victimes: celul
entre les partisans du regroupement
de toutes les forces franco-manito-
baines au sein d'un organisme central
fort et efficace et les partisans des
méthodes dites diplomatiques, de né-
gociation, de bonne entente avec une
majorité anglophone rarement bien
informée des besoins et nécessités de
la communauté francophone,
D'autres ont abandonné le combat,
qui confondaient valeurs religieuses et
valeurs profanes, pour qui la lutte pour
le français n'était qu'une lutte pour le
catholicisme, qui s'anglicisent aujour-
d'hui car ils se sont rendus compte
qu'on peut être aussi bon catholique
en anglais qu'en français, On peut
noter en particulier que dans plusieurs
villages franco-manitobains, la pré-
sence d'anglophones a incité le clergé
à abandonner en partie l'usage du
français dans les égliseé.
Enfin, un exode marqué, soit vers
l'Est, soit vers les écoles anglopho-
nes, d'un grand nombre d'intellec-
tuels franco-manitobains a privé la
communauté de chefs potentiels ca-
pables de mener le combat d'aujour-
d'hui pour la survivance.
FORMER DES BILINGUES,
OUI, MAIS COMMENT???
Tout le monde est en faveur du bilin-
guisme conçu en termes de posses-
sion d'une langue première et d'une
langue seconde. Et avec raison. Eco-
nomiquement parlant, les personnes
véritablement bilingues se voient en
effet offrir des débouchés beaucoup
plus nombreux que les personnes uni-
lingues où que celles qui ne parlent
bien ni le français ni l'anglais, Des
arguments culturels parlent également
en faveur d'un véritable bilinguisme:
une personne capable d'apprécier
pleinement deux cultures est une per-
sonne plus riche que celle qui ne se-
rait à l'aise que dans un environne-
ment culturel,
Finalement, l'intelligence d'une per-
sonne capable de bien fonctionner
dans deux langues est beaucoup plus
développée, entraînée, que celle d'une
personne unilingue,
Tout le monde est donc en faveur du
bilinguisme, Mais quel bilinguisme?
Dans la première moitié du siècle, le
problème pour les francophones dési-
rant devenir bilingues était souvent
d'apprendre l'anglais, Le français était
la langue première, l'anglais était la
langue seconde,
Nous avons vu que le problème se
pose aujourd'hui en termes radicale-
ment différents. L'anglais est souvent
devenu la langue première des jeunes
francophones, Même si aujourd'hui
nos enfants d'âge scolaire ne risquent
plus jamais d'être unilingues franco-
phones, onpose pourtant encore le
problème trop souvent comme si le
contexte social et culturel était le
même que dans la première moitié du
siècle, Et la tendance chez le parent
francophone est de se rattacher à l'i-
dée qu'un “bon'” cours de français est
suffisant pour que son enfant de-
vienne bilingue, sentiment basé sou-
vent sur la crainte plus où moins
consciente que l'enfant n'apprendra
pas bien l'anglais, et qu'il sera désa-
vantagé dans un environnement majo-
ritairement anglophone.
(SUITE, PAGE 20)
COURS DE TENNIS
COMMENCANTS ADULTES
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— Les raquettesæt les balles seront fournies
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SESSION 111 mai - 1er juin SESSION [O7 juin - 29 juin
(Mardi et jeudi seulement) (Lundi et mercredi seulement)
6h30 p.m.[C] ou 7h30 pm. 6h30 p.m.[] où 7h30 pm,.[
SESSION 110 8 juin - 29 juin
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SESSION 1010 mai - 7 juin SESSION 110 8 juin - 29 juin
{Lundi et mercredi)[) (mardi et jeudi seulement)»,
6h30 p.m, OO ou 7h pm.O
ou (mardi et jeudi) []
6h30 p.m. [] ou 7h30 p.m.[
J.H. BRUNS/SOUTHDALE
1010 mai - 7 juin
(Lundi et mercredi seulement)
6h30 p.m. [] ou 7h30 p.m. []
SESSION 10] 7 juin - 30 juin
(Lundi et mercredi) O
ou (Mardi et jeudi) [
6h30 p.m.[ou 7h30 pm.
SESSION
SESSION 111 À 4-9 :14:17 - 22-25. 30
juin
1h15 seulement
LA LIBERTE, mercredi 26 avril 1976 / 1
; Li Rae de Bicol jé
op)
GAGNANTS …. A orgue,
A7 Bart _k au,
Voici les gagnants du Concours: ‘Une visite chez
le dentiste’’,
HOURRAH POUR LES GAGNANTS! ou Nadir 7742)
Ils recevront chacun un livre et une chemise
- Roger Balcaen, 13 ans, La Broquerie, Man, sl $ /
- Hélène Vermette, 11 ans, Aubigny, Man. .
= © Flo —
SAINT-LAZARE
Je demeure à Saint-Lazare. La mission de Saint-Lazare fut fondée en 1870 par le Père Decorby. Le
Père Decorby appela sa mission Saint-Lazare d'après un petit village en France. Saint Lazare est situé
dans la belle vallée de l'Assiniboine, tout près de la jonction des rivières Assiniboine et Qu'Appelle.
Saint-Lazare est aussi très près de la frontière de la Saskatchewan.
Les habitants de ce temps étaient des métis et des indiens. Les premiers blancs à arriver furent les
O'Keefe en 1880 suivis par Luc Tremblay en 1882 ainsi que des Decorby. En 1888 arrivèrent les Si-
mard, les Chartier, les Guay et les Tremblay. Toutes ces familles venaient de la France ou du Québec.
Saint-Lazare était connu comme Fort Ellice. C'était un poste de traite de fourrures de la Baie d'Hud-
son. |! fut établi en 1831. Fort Ellice était reconnu pour son bon mangé et sa bonne hospitalite, Un
grand nombre de gens vivent sur des fermes, d'autres gens travaillent à la mine de potasse qui est tout
près, d'autres sont employés par les Fouillard qui ont plusieurs entreprises dans notre village, d'autres
sont employés par le C.N.
Le curé de la paroisse est le Père Maurice Comeault, Nous avons aussi parmi nous les Soeurs de la
Présentation. Elles enseignent à l'école élémentaire qui est dirigée par M. Henri Bisson. Le hockey est
tres populaire. || y a des équipes de 8 ans et moins jusqu'à 16 ans. Etant dans une vallée nous avons des
belles côtes pour aller glisser en hiver. C'est pour aider aux sports que l'organisation ‘‘Association Athlé-
tique” fut formée. C'est à tous les étés qu'une grande journee sportive est organisée. Plus de huit à dix
mille personnes viennent. Les profits de cette grande journée vont pour les sports et les jeunes. || y a
plusieurs autres organisations comme les Chevaliers de Colomb, les Dames Auxiliaires, le Club 4-H, l'As-
sociation Metis, les Chevaliers de l'Autel, etc.
Voilà, c'est mon village: Saint-Lazare!
Michel Chartier
Saint-Lazare, Man.
Église Saint-Lazare
- Angèle Saint-Vincent, 8 ans, St-Boniface, Man. F
18 / LA LIBERTE, 5mercredi 28 avi 06 rm .
“T.Shirt'' de Bicolo. x 4 al ) "
- Marie Godard, 11 ans, Saint-Claude, Man. ANAL),
Petit MOT MYSTÈRE
Eccle
fille
lu me
de 5 lettres
se rapportant à l’école.
etuie mine
gomme cle
ob 1T ete
ettz
CCE de Ah ln deb 408 2 AE, de A ad ANR AS D ee annee
aan ee
Ces enfants reconnaissent bien leur village de Lorette, mais ils ne savent pas quel chemin
prendre pour s'y rendre. Peux-tu les aider?
LORETTE
VRAI ou FAUX ?
1 - Lorette est situé à 100 milles de Winnipeg?
2 - Les soeurs de Saint-Joseph de Saint-Hya-
cinthe demeurent encore à Lorette?
3 - Mona Gauthier chanteuse au 100 Nons
vient de Lorette?
4-11 y a un aéroport à Lorette?
5.. L'abbé Réginald Prescott est le curé actuel
à Lorette?
6 - Suzanne Gauthier est danseuse de ballet?
7-11 y a un hôpital à Lorette?
8 - La rivière Seine passe à Lorette?
9 - Beaucoup de gens sont fermiers?
10-11 y a une Caisse Populaire à Lorette?
11 - Près de Lorette il y a une réserve indienne?
"XNBJ + LÉ IBAA - OL ‘IBIA - 6 ‘IP4A -8 fxne 4-4
: UISSEp NP 11e} euuezns 1XN64 - 9 IBIA - G'XNEJ - p IAA - €
‘IBIA - Z ‘BediUUIM ep sejjiu LL PR350,9 :xne4 - L 'SISNO43IH
BICOLO SALUE SES
NOUVEAUX MEMBRES
3412 Rachelle Privé, Saint-Norbert, Man.
3413 Michel Rouire, Winnipeg, Man.
3414 Mare Rouire, Winnipeg, Man,
3415 Gérald Rouire, Winnipeg, Man.
3416 Jackie Lussier, Somerset, Man.
3417 Raymond Sénécal, H innipeg, Man.
3418 Thérèse Sénécal, H innipeg, Man.
3419 Lucie Sénécal, Winnipeg, Man.
3420 Maurice Sénécal, Winnipeg, Man.
3421 Lynn Fillion, Hle-des-Chênes, Man.
3422 Lise Labossière, Somerset, Man.
3423 Dominique Allard, Saint-Boniface, Man.
3424 Chantal Allard, Saint-Boniface, Man.
3425 Élaine T'ougas, Sainte-Anne, Man.
3426 Gilles Dupasquier, N.-D.-de-Lourdes, Man.
3427 Patricia Dupasquier, N.-D.-de-Lourdes, Man.
3428 Jeannette Gosselin, Sainte-Anne, Man.
3429 Robert Parent, Saint-Joseph, Man.
3430 Robert Van Deynze, Somerset, Man.
3131 Daniel Fortin, Sainte-Anne, Man.
MEMBRE GAGNANT:
No 3752 — Gilles Michaud, 7 ans
Lorette, Manitoba
ATTENTION... ATTENTION! ! !
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Club... tu peux Île devenir aujourd'hui.
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Nb us RER ue *
om: — %
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Fr
CAS ARR EN EE en LE Len £
Code postal: —-——-—-——— pi
Ville: ———————-———-———-———— k
Age: ———----— Grade: ————-———— È
LA LIBERTÉ, mercredi 28 avril 1976 / 19
st
On a lu, dans la livraison de la semaine dernière de LA
LIBERTE, que le gouvernement fédéral vient d'accorder
au Manitoba une somme de $242,560 pour le dévelop-
pement de l’enseignement du français dans cette Pro-
vince. Sur cette photo, on voit le député de Saint-
Boniface aux Communes, M. Joseph Guay, remettant,
au nom du Secrétaire d'Etat, l'honorable J. Hugh
Faulkner, le chèque du gouvernement fédéral au mi-
nistre de l'Education du Manitoba, l'honorable Ben
Hanuschak,
Nécrologie
M. l'abbé P.-E, HALDE
Le 9 avril décédait à sa
résidence, M. l'abbé Paul:
Emile Halde, prêtre retiré,
âgé de 90 ans. || s'endor-
mit paisiblement dans le
Seigneur.
L'abbé Halde est né à
Saint-Alexandre d'ibervil-
le, Qué., le 14 août 1885,
d'Arthur Halde et d'Agnès
Vallée, Ses deux frères,
Joseph (décédé le 4 octo-
bre 1916) et Evariste (dé-
cédé le 10 janvier 1951),
tous deux prêtres, ont
aussi exercé leur aposto-
Chapelle
+ funéraire
COUTU
156, rue Marion
Saint-Boniface
L'établissement le plus ancien
de Saint-Boniface
Téléphones:
233-7453 247-2325
lat au Manitoba, Sa soeur
Rosaline (décédée) était
religieuse chez les Soeurs
de la Présentation de Ma-
rie et se dévoua à l'ensei-
gnement à Québec.
L'abbé Halde fut ordon-
né prêtre à Montréal le 17
décembre 1910, et le 31
du même mois il fut nom-
mé vicaire à Grande Clai-
rière et déservait Deleau,
Hartney et Belleview. ll
fut ensuite nommé curé à
Deloraine 1912-19, Abbé-
ville 1919-25, McCreary
1925-30, Saint Lazare
1930-35, Dunrea 1936-38,
NAISSANCE
M. et Mme Roger Collet
sont heureux d'annoncer
l'arrivée de leur fille choi-
sie, Mylène-Chantal, née
le 30 mars 1976.
LA VÉRITÉ
Je leur donne la vie éternelle;
et elles ne périront jamais, et
personne ne les ravira de ma
main
(Jean 10, v. 28)
CHAPELLE FUNERAIRE
SAINT-PIERRE
Luc DANDENAULT, Gérant
Résidence - 433-7633
Bureau - 433-7879
LOWEN FUNERAL CHAPELS
Téléphone: 326-2085
Saint-François - Xavier
1938-63, C'est dans cette
dernière paroisse qu'il
choisit d'y faire suivre sa
retraite,
Il est Impossible de
faire une revue complète
des oeuvres accompliles
par ce grand missionnai-
re, mais il est sans doute
suffisant de se référer à
la liste édifiante de pa-
roisses et de missions
qui seule peut nous con-
vaincre que le nom de
l'abbé Halde et son travail
connaissent une audience
provinciale,
Il faut remarquer qu'il a
construit plusieurs égli-
ses au Manitoba: en 1911
l'église de Belleview; en
1912, l'église de Saint-
Paul de la Montagne à
Deloraine; en 1916, répa-
ration de l'église d'A-
shern; en 1919, achat de
l'église ‘‘Baptist” de Meli-
ta pour la convertir en
église catholique à Meli-
ta; en 1927, l'église de
McCreary; en 1928, re-
construit l'église de Maki-
nak; en 1930, contruc-
tion du couvent des
Soeurs de la Présenta-
tion de Marie à Saint-
Lazare.
Il ne manque pas de
chrétiens splendides en
notre siècle. L'histoire de
la vie de l'abbé Paul-Emile
Halde vaut la peine d'être
connue, car il fut un fa-
meux chrétien, un pasteur
dont le courage, l'amitié
dévouée et cordiale ne
cessèrent de nous édifier.
L'année dernière nous a-
vons fêté ses 65 années
de prêétrise,
Les funérailles de l'ab-
bé Paul-Emile Halde eu-
rent lieu le mercredi 14
avril à Saint-François-
Xavier. La messe de la
Résurrection fut célébrée
par Son Eminence le Car-
dinal George Flahiff, as-
sisté de Mgr Charles Hal-
pin, Mgr Gérard Gervais,
Mgr Norman Chartrand
et l'abbé Roland Lavoie.
Une vingtaine de prêtres-
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Tél. : 233-7864
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DANS L'OUEST CANADIEN
Hargrave et William
M. J.-A. SCHIMNOWSKI, président
20 / LA LIBERTE. mercredi 28 avril 1976
rex,
curés se joignirent à la
célébration,
L'inhumation se fit au
cimetière de la Cathédra-
le de Saint-Boniface où
reposent déjà ses deux
frères prêtres-curés,
L'abbé Roland Lavoie
bénit la fosse et récita
les dernières prières,
Les porteurs étaient
MM. Bernard, Oscar et
Adélard Lagacé, M, Marc
Régnier, M, Léon Pré-
court et M, Pierre Allard,
REMERCIEMENTS
Les familles Adélard
Houle et Bernadette La-
gacé remercient tous ceux
qui ont assisté aux funé-
railles et qui ont manifes-
té leur sympathie par
offrandes de messes ou
de fleurs à l'occasion du
décès de l'abbé Paul-
Emile Halde.
REMERCIEMENTS
Les enfants de Mme
Délia Gareau désirent re-
mercier toutes les per-
sonnes qui leur ont témoi-
gné de la sympathie à
l'occasion du décès de
leur mère Mme Délia Ga-
reau, soit par leur assis-
tance aux prières et aux
funérailles, leurs offran-
des de messes et de
fleurs ou de toute autre
façon. Un merci tout spé-
cial au Père Aurèle Le-
moine
REMERCIEMENTS
La famille Saint-Vin-
cent désire remercier tous
les parents et amis pour
leur témoignage de sym-
pathie et leur assistance
à l'occasion du décès de
leur mère, Un merci tout
spécial à l'abbé Jean-
Marie Gagné qui a célé-
bré la messe des funé-
railles, aux chantres pour
le bon choix des canti-
ques, aux porteurs, aux
servants de messe, aux
demoiselles qui ont re-
cuellll les offrandes, ainsi
qu'aux dames qui 8e sont
occupées du bon goûter
Merci aussi pour les of-
frandes de messes et les
dons de leur choix
REMERCIEMENTS
M, Alexandre Dumont
et sa famille désirent re-
mercier tous leurs parents
et amis pour leur témoi-
gnage de sympathie et
leur assistance à l'occa-
sion du décès de Mme
Dumont,
Ils désirent remercier
M. l'abbé Bouvier pour
avoir célébré la messe des
funérailles, l'organiste,
les chantres de Saint-
Pierre et Saint-Malo pour
le beau chant, Un merci
tout spécial aux dames
du Manoir, ainsi qu'à
d'autres dames de la pa-
roisse pour avoir prépa-
ré et servi un si bon
goûter
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Gérard Privé, propriétaire
ÿ Monnaie royale
canadienne
M. Yvon Gariépy, direc-
teur général de la Mon-
naie royale canadienne
annonce la nomination
de M, Robert Huot au
poste de directeur du
marketing.
M. Huot est un diplômé
de l'université Sir George
Williams (université Con-
cordia) où il a obtenu un
baccalauréat en sciences.
Il était jusqu'à sa nomi-
nation directeur du mar-
keting (simulateur de vol)
à la compagnie CAE Elec-
tronics Limitée à Mont-
réal.
D'hier à aujourd’hui (suite)
Il est impossible aujourd'hui au Mani-
toba de ne pas bien savoir l'anglais.
Nombreux sont les exemples d'en-
fants en bas âge, n'allant pas encore
à l'école, dont les parents ne pronon-
cent jamais un mot d'anglais à la mai-
son, qui parlent pourtant l'anglais
couramment.
Le problème n'est jamais d'enseigner
l'anglais aux jeunes francophones.
Il est de leur enseigner le français.
Comment y parvenir?
Parce que le gouvernement n'a pas
prévu de mécanismes d'application
concrète de la Loi 113, et à cause d'un
certain manque de continuité dans les
programmes d'éducation française, de
nombreux parents se sont sentis dé-
routés. IIS croient de moins en moins
à l'éducation française.
DES FAITS INDISCUTABLES
Certains éléments sont
bien clairs:
cependant
- l'école dite “mixte” ou “bilingue”
est un facteur d'assimilation. L'expé-
rience vécue par les Franco-Onta-
riens — qui depuis 1967 ne considè-
rent plus l'école mixte — a clairement
montré que les élèves francophones
qui sont déjà presque tous bilingues
finissent par se faire angliciser par
les anglophones qui sont presque
tous unilingues. Ainsi qu'en a conclu
le rapport de la commission ministé-
Chez
RO
vous trouverez sûrement le cadeau qui plaira.
Choisissez, soit un bouquet de fleurs, du
chocolat ou des cartes pour toutes les occasions
Place
La Vérendrye
400,
Taché
Vis-à-vis l'Hôpital
Saint-Boniface
rielle Symons en Ontario, ‘quiconque
pense qu'il suffit de réunir des élèves
francophones et des élèves anglopho-
nes sous un même toit en espérant
que chaque groupe linguistique ap-
prenne la langue de l'autre groupe,
commet l'erreur d'un raisonnement
simpliste. Les faits semblent indiquer
au contraire qu'en agissant ainsi on
obtient, au moins dans certaines cir-
constances, un résultat tout à fait
opposé. . . il arrive presque toujours
que dans ces écoles mixtes, l'anglais
devient bientôt la langue de communi-
cation et de l'administration. Le climat
général est alors un facteur qui con-
duit inévitablement à l'assimilation
des francophones”,
- || est également clair et indiscutable
que si le français a survécu pendant
si longtemps au Manitoba, c'est grâce
à l'existence d'ilots de langue et de
culture française. Ces flots ont aujour-
d'hui disparu.
Nous ne pouvons les recréer. Et d'ail-
leurs, nous ne voulons pas retourner
dans le passé. Par contre, nous vou-
lons continuer d'exister. Que faire?
Il nous faut recréer certaines des ca-
ractéristiques que possédaient les di-
vers lieux où le franco-manitobain
pouvait véritablement vivre en franco-
phone.
Seule l'école française “lot” possède
ces caractéristiques. Elle est la seule
réponse, le seul espoir.
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Lucille et Yvonne Boulet
vous invitent à venir les voir.
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mulant et intéressant
Les demandes d'emploi seront étudiées dès leur récep
tion au regard des postes actuellement vacants, Les noms
des postulants qualifiés qui ne seront pas sélectionnés par
rapport à Ces postes seront verses à un repertoire ac tif, dans
le cadre d'un programme permanent de recrutement, qui
pourra servir à combler de futures vacances, Ceux qui réu
nissent les qualités requises pour les vacances en perspective
seront convoqués à une entrevue au cours de 1976 et leurs
noms seront gardés au répertoire et transmis ultérieurement
aux ministères employeurs à mesure que des vacances se
produiront,
Plusieurs ministères auront besoin d'ingénieurs expéri
mentés dans les disciplines et spécialités suivantes
Routes et pistes d'envol
No de référence: 76-STP-12.03 (70)
Etablissement de plans, étude technique et construction de
bases et de revêtements
Transports et circulation
No de référence: 76-STP-12-05 ( 70)-
Planification, étude technique et construction (terre, mer,
air, arctique) de réseaux de transport, Planification et étude
technique de tous les systèmes de circulation
Ressources hydrauliques
No de référence: 76-STP-12-07 (70)
Hydraulique, hydrologie, hydrométrie, Etude technique et
construction d'installations hydrauliques, notamment de
barrages, d'usines hydro-électriques et d'aqueducs, Etudes
hydrographiques à l'échelle d'un bassin et d'une région
Travaux côtiers
No de référence: 76-STP-12-09 (70)
Etude technique et construction d'ouvrages de génie côtier
pour les hâvres, rivières et lacs, notamment les ports, les
quais, les brise-lames, les canots et le dragage. Etude du
champ de la vague, protection des berges et étude de la sei
che,
Sécurité
No de référence: 76-STP-12-11 (70)
Tous les aspects techniques de la sécurité dans les chantiers
et l'industrie
Energie électrique
No de référence: 76-STP-12-21 (70)
Production, transport et distribution d'énergie électrique.
Systèmes de contrôle, Réseaux électriques. Sous-stations.
Services d'immeubles (électrotechnique)
No de référence: 76-STP-12-22 (70)
Etude technique, construction et entretien des systèmes
électriques d'immeubles et d'ouvrages. Electrotechnique
appliquée à l'éclairage intérieur et extérieur,
Télécommunications
No de référence: 76-STP-12-30 (70)
Tous les aspects de la technique des télécommunications,
notamment les télétypes, les satellites, les basses fréquences
et les micro-ondes.
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No de référence: 76.STP.12.33 (70)
Technique du radar, Aides à la navigation aérienne et mari
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Electronique
No de référence: 76.-STP.12.34 (70)
Technique de l'électronique, notamment étude et entretien
du matériel, des systèmes et organes électroniques dans des
domaines comme les télécommunications et le traitement
des données
Informatique
No de référence: 76.-STP-12.36 (70)
Technique de l'installation et de l'exploitation de systèmes
d'informatique
Automobile
No de référence: 76-STP.12.41 (70)
Technique de l'automobile, notamment les études, la re
cherche et le développement, la combustion interne, les mo
teurs à turbine et les mécanismes d'entrainement
Services d'immeubles (construction mécanique)
No de référence: 76-STP.12.42 (70)
Etude technique et construction des systèmes de plomberie,
de chauffage, de ventillation et de climatisation des immelu
bles; protection contre l'incendie: usines centrales de chauf
fage
Aéronautique et aérospatiale
No de référence: 76-STP:12.44 (70)
Etude te hnique des véhicules aérospatiaux (aéronefs, fu
sees, satellites, Coussins d'air) et de leurs systèmes et mo
teurs, de leur structure et de l'équipement au sol
Mécanique/Architecture navale
No de référence: 76-STP.12.45 (70)
Etude technique, construction et entretien des bateaux
commerciaux et des navires de querre, ainsi que de leurs
systemes de propulsion et autres
Oléoducs
No de référence: 76-STP.12.51 (70)
Tec hnique et réglementation relativement à l'emplacement,
à la Construction et à l'exploitation d'oléoducs et de gazo
ducs
Pétrole et gaz
No de référence: 76-STP.12.52 (70)
Technique de prospection, de forage (y compris en mer },
d'analyse des carottes et de la boue, de conservation et de
transport en ce qui a trait au pétrole et au gaz, Réglementa
tion fédérale de la mise en valeur et de l'exploitation des
ressources en pétrole et en gaz
Génie minier
No de référence: 76-STP.12.53 (70)
Recherche, préparation, installations, sécurité, ventilation
et forage relativement aux mines, et mécanique des roches
Réglementation fédérale de la mise en valeur et de l'exploi
tation des mines
Ecologie
No de référence: 76-STP.12.60 (70)
Tous les secteurs de la technique de l'environnement appli
quée à la protection écologique, notamment: incidence éco
logique (écosystèmes), contrôle des agents de contamina
tion, gestion des déchets solides, lutte contre la pollution
par le bruit, utilisation des terres et hygiène industrielle
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Pollution de l'eau
No de référence: 76.8TP.12.61 (70)
Technique de l'environnement appliquée à la dépollution de
l'eau et à la lutte contre 5a pollution par diverses sources
Pollution de l'air
No de référence: 76-STP.12.62 ( 70)
Technique de l'environnement appliquée à la dépollution de
l'air et à la lutte contre 5a pollution par diverses sources
Conditions de candidature pour tous les postes
Diplôme universitaire en génie OÙ admissibilité à l'immatri
Culation à titre d'ingénieur au Canada et expérience con
nexe, Pour certains postes, la connaissance de | anglais est
indispensable; pour d'autres, la connaissance du français est
indispensable; pour d'autres, la connaissance de l'anglais où
du français suffit; et pour d'autres, la connaissance de l'an
glais et du français est indispensable
Avantages sociaux
Les avantages sociaux, sauf modification des conventions
collectives, comprennent notamment: 11 jours fériés par
année et trois semaines de vacances annuelles, Des congés
de maladie qui s'accumulent à raison de 15 jours ouvrables
par année pour garantir le traitement en cas de maladie, Un
des meilleurs régimes de pension de retraite au Canada aux
termes duquel la pension peut atteindre 70° /o du traite
ment moyen des six années consécutives les plus favorables
à l'employé, Tous les cotisants au régime de pension de
retraite Cotisent également à un régime de prestations sup
plémentaires de décès à prime modique qui prevoit une
prestation de base égale au traitement annuel, Un régime
d'assurance-vie de base et supplémentaire, un régime d'assu
rance en Cas de décès par accident et un régime d'assurance
pour le$ personnes à Charge, tous trois à prime modique
Des régimes d'assurance-invalidité à prime modique pré
voyant le versement de 70° /o du traitement annuel à l'em
ployé qu'une maladie où une invalidité prolongée empêche
de travailler, Participation à un excellent régime d'assurance
collective chiruraicale-médicale
Exigences linguistiques
Les unilingues peuvent postuler un poste bilingue s'ils con
sentent par écrit à s'engager dans un programme de forma
tion linguistique qui pourra, au gré de la Commission de la
fonction publique, durer jusqu'à un an, La Commission
s'assurera d'abord de leurs aptitudes linguistiques, puis dé
terminera le lieu des cours. La titularisation ne sera accordée
que si le programme de formation se termine avec succès
Comment se porter candidat
Présentez votre demande sur le formulaire C.F.P, 367-4110,
Demande d'emploi”, auquel vous pouvez joindre un curri
culum vitae et que vous pouvez vous procurer dans les bu
reaux de poste, les Centres de main-d'oeuvre du Canada et
les bureaux de la Commission de la fonction publique à
Halifax, Montréal, Québec, Ottawa, Toronto, Winnipeg,
Edmonton et Vancouver, et faites-la parvenir à l'adresse sui-
vante
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h EN CE QUI CONCERNE LA SUCCESSION DE
FEUE PARMELIA LEBLANC, de la ville de Winnipeg,
au Manitoba, à sa retraite, décédée,
TOUTES réclamations contre la succession ci-haut men:
tionnée devront être déposées à l'étude des soussignés,
Chambre 500, Edifice Childs, 211, avenue Portage, Winni:
peg, Manitoba, R3B 2A2, le ou avant le 31 mai, À. D, 1976.
DATE à Winnipeg, au Manitoba, ce 15e jour d'avril
AD, 1976, * à
MARCOUX, BETOURNAY & GUAY
Procureurs de la succession,
EN CE QUI CONCERNE LA SUCCESSION DE FEU
DE JEAN MARIE LAVALLEE, de la ville de Winnipeg,
au Manitoba,
TOUTES réclamations contre la succession cihaut men:
tionnée devront être déposées à l'étude des soussignés
201
185, boulevard Provencher, Winnipeg, Manitoba,
R2H 0G4, le ou avant le 28 mai 1976,
DATÉ à Winnipeg, au Munitoba, ce 20e jour du mois
d'avril, AD, 1976,
TEFFAINE, MONNIN & HOGUE
Procureurs de la succession,
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24 / LA LIBERTE, mercredi 28 avril 1976
PHOTO : CHARLES LAVACK